Les hommes sont des loups.

Démarré par Gabriel10, 17 Septembre 2008 à 21:47

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17 Septembre 2008 à 21:47 Dernière édition: 19 Septembre 2008 à 19:53 par Gabriel10
Chapitre 1: Les loups aux portes de la ville

Qui a dit que les loups n'aimaient pas les hommes? Ils les aiment tellement qu'ils veulent les croquer. Les hommes eux veulent les tuer, se sont eux les loups. Du moins si un loup attaque, c'est pour ce nourir, si un homme attaque, c'est pour le plaisir.

C'est à ça que pensais Iséquiel, jeune paysan de Nouvelle-France. Un homme pas comme les autres, un fou comme certains l'appelait, un mécène comme on les appelaient, un fils de sorcière.

Celui-ci, de son illustre réputation n'était pas très aimés des autres membres de son village caché en plein fond d'une forêt de l'ouest du futur Bouclier canadien. Une réputation qui le qualifiait de fou, d'oiseau de malheur mais aussi de parleur de loup. Un parleur de loup, était, dans ce village considiré comme étant un homme se raprochant plus de la bête que d'un humain, créature de Dieu tout puissant.

Iséquiel avait de quoi se réjouir lui, les loups, c'est pas ce qui manquait dans le village. Il y en avait tellement que pour la protection des femmes et des enfants, il avait fallu irriger une pallissade gigantesque fait de bois et d'autres matériaux du bord. On ne pourait pas appeler ça une oeuvre d'art, mais ça tenait.

Cependant depuis un certain temps les loups étaient aperçus la nuit, ils rodaient et fouinaient, cherchaient et trouvaient. Un accident, si vite arrivé, un homme si vite mangé.

Les hommes cherchaient la cause de l'entrer subite des loups, la palissade était pourtant intacte. Les missionnaires récitaient leurs chaplets à n'en plus finir à coup de notre père et de je vous salut Marie. Évoquant le Gévaudan qui avait touché leurs frères de l'est.

Les hommes passant près de la corde à noeud avait tous la même pensée, comme secret connu de tous qu'on ose pas révéler:

-Y va t'y avoir une pendaison ici't je crée bien...


Qu'en pensez-vous, des comentaires, devrais-je continuer, ou non?:)



Pas mal , par contre ton orthographe c'est une horreur :)

Citation de: Binbin le 17 Septembre 2008 à 22:08
Pas mal , par contre ton orthographe c'est une horreur :)

J'ai corrigé mais le reste est fait par exprêt. :)



Pour répondre à ta question, j'espère que tu vas quand même continuer. Pour voir ce que cela donne^^
En tout cas, malgré les fautes, ton style d'écriture est pas mal :)

Merci, mais bien sûr que je continue! :)



J'aime bien, mais il y a pas mal de fautes, bien que peu voyante.  ;)

J'ai franchement apprécié ton histoire, et j'attends vraiment la suite.
Voici ton texte corrigé à 2 ou 3 mots près :
[spoiler]Qui a dit que les loups n'aimaient pas les Hommes ? Ils les aiment tellement qu'ils veulent les croquer. Les hommes eux veulent les tuer, ce sont eux les loups. Du moins si un loup attaque, c'est pour se nourrir, si un homme attaque, c'est pour le plaisir.

C'est à ça que pensait Iséquiel, jeune paysan de Nouvelle-France. Un homme pas comme les autres, un fou comme certains l'appelaient, un mécène comme on les appelait, un fils de sorcière.

Celui-ci, de son illustre réputation n'était pas très aimé des autres membres de son village caché en plein fond d'une forêt de l'ouest du futur Bouclier canadien. Une réputation qui le qualifiait de fou, d'oiseau de malheur mais aussi de parleur de loup. Un parleur de loup, était, dans ce village considéré comme étant un homme se rapprochant plus de la bête que d'un humain, créature de Dieu tout puissant.

Iséquiel avait de quoi se réjouir lui, les loups, c'est pas ce qui manquait dans le village. Il y en avait tellement que pour la protection des femmes et des enfants, il avait fallu irriger une palissade gigantesque faite de bois et d'autres matériaux du bord. On ne pourrait pas appeler ça une œuvre d'art, mais ça tenait.

Cependant depuis un certain temps les loups étaient aperçus la nuit, ils rodaient et fouinaient, cherchaient et trouvaient. Un accident, si vite arrivé, un homme si vite mangé.

Les hommes cherchaient la cause de l'entrée subite des loups, la palissade était pourtant intacte. Les missionnaires récitaient leurs chapelets à n'en plus finir à coup de notre père et de je vous salut Marie. Évoquant le Gévaudan qui avait touché leurs frères de l'est.

Les hommes passant près de la corde à nœud avait tous la même pensée, comme secret connu de tous qu'on ose pas révéler:

-Y va t'y avoir une pendaison ici't je crée bien...[/spoiler]

18 Septembre 2008 à 18:05 #7 Dernière édition: 19 Septembre 2008 à 18:06 par Gabriel10
Citation de: Soshi le 18 Septembre 2008 à 17:18
J'aime bien, mais il y a pas mal de fautes, bien que peu voyante.  ;)

Ok, je vais tenter d'y remédier. :)

Citation de: Binbin le 18 Septembre 2008 à 14:56
Pour répondre à ta question, j'espère que tu vas quand même continuer. Pour voir ce que cela donne^^
En tout cas, malgré les fautes, ton style d'écriture est pas mal :)

Merci! ^_^

Maintenant, le chapitre 2!

Chapitre 2: Les loup parmis les hommes

Pour comprendre la tragédie qui aurait lieu quelques jours plus tard qui pertubèrent l'atmosphère fragile de ce petit village. Il faudrait d'abord que je vous dise qui est Iséquiel, le protagoniste principal de cet histoire.

Iséquiel, fils de sorcière était née de l'union d'un hors la loi hollandais qui se cachait momentairement en Nouvelle-France et d'une iroquoise habitant le comté que tous appelaient la sorcière. Dès sa naissance, Iséquiel, fils de prisonnier et de sorcière avait déjà une mauvaise réputation et son lot de préjugés qui pesaient sur lui.

Mais, l'évènemment qui allait à tout jamais lui donner le surnom de crieur de loups arriva bien plus tard. Les différentes familles du village revenant de la veillée qui avait eu lieu ce soir là avait durée jusqu'à minuit (tradition de l'époque avant jour de messe). Sur leurs routes cependant, ils croisèrent la sorcière et Iséquiel à ce moment âgé de 8 ans. Étant un peu soul et voulant se défouler un peu, le forgeron du village, Jacob, eu la merveilleuse idée de prendre une roche, de s'élancer, et de la lancer sur le petit Iséquiel.

La pierre en pleine figure, du sang comença à couler de sa plaie. Au lieu d'être consterné par la triste petite mine et les pleurs de l'enfant, les autres hommes décidèrent de suivre le bâteau. Une bonne partie d'entre eux s'étant déjà engagé sur la route laissant les troublefêtes à leurs jeux sadiques. Il ne restait plus sur le petit sentier que la sorcière, Iséquiel et trois hommes qui, dans leur sagesse bien connu continuait de lancer des pierres aux pauvres inocents. Alors qu'ils couraient pour échaper à leurs poursuivants, un cri menaçant s'éleva dans la nuit. Un loup, les dents reluisantes et les griffes ensangletés se jeta entre Iséquiel et les hommes. D'un coup rapide, le loup fonça sur le premier et d'un coup précis, il lui infligea une blessure fatale au coup.

Les deux autres dont notre sage forgeron, coururent à en perdre haleine vers l'habris le plus proche, laissant le loup, Iséquiel et la sorcière seuls. Au lieu d'attaquer à nouveau, le loup se réfugia dans la forêt qui longeait les deux côtés du petit sentier laissant mère et fils seul.

Depuis ce temps, on appel Iséquiel leur crieur de loup.

C'est 10 ans plus tard que les loups revinrent.

Et voilà, vous en savez maintenant plus sur Iséquiel, l'histoire ne fait que comencer cependant. :)



19 Septembre 2008 à 18:01 #8 Dernière édition: 19 Septembre 2008 à 18:13 par Gabriel10
Chapitre 3: Dent pour Dent, croc pour croc

Pourquois soupçonner un homme comme Iséquiel d'avoir comis la tragédie, excepté pour de vieilles histoires et une réputation pleine de taches, il n'y avait aucunes preuves et aucunes hypothèse concluantes. Jusqu'au jour fatal où Grégoire, grande gueule du village dut pailler dent pour dent et griffe pour griffe.

Une partie du drame d'il y a dix ans restait caché au reste du village, tel un trophé caché jalousement dans un temple qu'on ne pouvait proffaner...en fait c'était exactement ça. Gringoire avait garder une dent du loup qui avait tenté de le tuer dix ans plus tôt et depuis ce temps, il la cachait dans une petite boîte dans son grenier derrière une pile de vieux journeaux crasseux.

Alors qu'il sortait de la taverne du village, durant une nuit noir comme la mort, il titubait pour rentrer chez lui pour digérer sa précieuse eau de vie. Seulement, à quelques maison de chez lui, il entendit un bruit sourd s'échapper du bois. Il se retourna vivement mais ne put rien appercevoir dut aux nuages qui cachaient la lumière de la lune. Il continua de marcher en tremblant un peu, comme si un souvenir enfouit au plus profond de sa consience resurgissait.

Un autre cris...

Cette fois si, il savait qu'il n'avait pas rêver, il se retourna et apperçu une silhouette qu'il ne connaissait que trop bien. D'un geste maladroit, il se retourna et put enfin voir la bête, un loup, plus grand que les autres...avec une dent manquante.

Il paniqua mais sous l'effet de l'alcool, il s'écria cependant:

-Mon tabar... de vaurien, j'tai arraché une dent mais ce coup sit, j'men va t'arracher la machoire au complet attend que je-

D'un coup sec, le loup s'élança sur Grégoire, lui mis la patte sur le coup et d'un geste sec lui trancha la gorge, Grégoire ravala donc son insulte avant de l'avoir craché.

Le lendemain, quand on trouva le cadavre de Gringoire la grande gueule, on put appercevoir qu'il lui manquait une dent qu'on avait arraché d'un après sa mort.

Dent pour dent, croc pour croc...



Trés bien moi j'aime bien mais dit moi pourquoi tu dit dent pour dent croc pour croc?

C'est dent pour dent oeil pour oeil.
<a href="http://generation-nintendo.1fr1.net/"><img src="[url="http://i60.servimg.com/u/f60/13/10/18/48/bannie10.jpg"width="468""]http://i60.servimg.com/u/f60/13/10/18/48/bannie10.jpg"width="468"[/url] height="60" border="2"

Citation de: FRUITA le 19 Septembre 2008 à 19:21
Trés bien moi j'aime bien mais dit moi pourquoi tu dit dent pour dent croc pour croc?

C'est dent pour dent oeil pour oeil.

J'ai voulu modifier pour les circonstances. :)



Ah cool ! De l'histoire d'inspiration époque Vaudreuil et Frontenac  :D . J'aime ça et je te fait pas dire pour te niaser, mais j'adore !

~[5 ans avec Zelda Solarus, ça passe déjà vite :) !]~

Je suis heureux que les gens aprécient, c'est la première fois qu'une de mes histoires amateures raporte autant de sucès. :)

Je ne dis pas que je ne veux pas de critique négative comprenez moi bien. ^_^

Chapitre 4: Elle en savait trop

Seulement deux jours avaient passé depuis le meurte de Grégoire à la dent manquante (il avait bien fallu lui trouvé un nouveau surnom). Déjà, les hommes du village soupçonait et fouinait. Cependant, le pire était de loin les comères du village. Elles placotaient entre elles, propageant leur venin rempli de mensonge dans tout le village. Tous se demandaient, qui avait comis le meurtre et quand il le referait.

Les dames du village, assise sur le balcon de madame Lantielle jacassait comme des pies à grand renfor de peut être et de si jamais. Un véritable cafarnahomme, c'était beau dîre. :)

Mais contre toute attente, une des vieilles commères s'écria d'un tout sec et rude:

-Moi je sais qui l'a fait.

C'était madame Lantielle qui comme un coup de feu avait ramené le silence sur son pérron.

-Qu'est ce que t'ai en train de dire là Charlotte, t'aurais-tu reçu une information qu'on aurait pas eu la chance de conaître dit madame Pierrefond, d'une voix pleine de reproches.

-Oh non rien...

Les autres protestèrent mais notre chère madame Lantielle était du genre à garder jalousement un secret jusque dans la tombe.

Elles restairent ensemble jusqu'au dernier rayons du soleil. Un peu de thé pour terminer la soirée en beauté puis les comères prirent le chemin du retour. Madame Lantielle, désirant être une bonne hôte, reconduisit les autres dames dans sa voiture avec sa voiture.

Son mari qui conduisait le cheval, elle tenait compagnis à ses invités au derrière de sa voiture. Maison après maison, il ne resta plus qu'une invité à aller reconduire à la porte de sa maison.

-Ma chère, s'il vous plaît, prenez donc un peu de thé avant de partir.

Elle accepta et en pris une tasse avant de partir, elle avait avertit son marri qui lui l'attendait dans la voiture, désireux de ne pas se mêler des affaires de femmes.

-Aurevoir madame Pierrefond.

-Oui oui, aurevoir à vous aussi.

Alors qu'elle quittait la maison avec l'intention de rentrer chez elle, elle se figea.

La voiture n'était plus là, elle avait disparu.

Alors qu'elle désirait retourné dans la maison sentant la peur monter en elle, elle vit que Madame Pierrefond l'observait, où était ce autre chose qu'elle observait?

Elle se retourna et un cris s'étoufa dans sa bouche.

Cette fois-ci, elle vait réelment garder son secret jusque dans la tombe.








Chapitre 5: La pallissade

Bat le fer et coupe le bois, traîne la buche et fend avec la hache, empile, assemble, uni, avance, recule, plus vite cal...

Le chantier allait bon train, les villageois travaillaient d'unisson pour construire la pallissade de bois qui devait entourer le village et le protéger. Depuis deux semaines des loups déssimaient la population toutes les nuits. De tout âge et de toute classe sociale, aucun lien ne semblait les unir, mais peut être que, si on n'avait creusé plus profond?

Dans le fond tout le monde s'en foutait un peu, si il y avait loup, il y avait sorcèlerie, c'était ça la seul, l'unique explication. Pas de quoi passer devant les tribunaux et se déplacer pour rien, si il y avait eu meurtre, c'était ça qui s'était passé!

Quand on dit sorcèlerie, on dit évidament sorcière et si on parle de la sorcière, on pense aussi à Iséquiel. Pauvre gars, les regards noirs s'étaient changés en insultes qui, par la suite, s'étaient transformés en menacent, discrètes mais menaces tout de même. La pallissade s'était un peu comme un symbole, le dernier rempart avant la barberie, c'est ça que le curé disaient.

On n'avait pas vraiment le choix de le croire, les meurtres se multipliaient à une vitesse constante, un meurtre par soir. Plusieurs détails trahissaient la présence d'un homme. Pas d'animaux mangés mangés, juste des hommes. La dent manquante du premier cadavre et les rumeurs de la vieille dame mais les autres...

Rien, pas de liens entre les affaires, du meurtre à sang froid, ils partaient la nuit et ils ne revenaient pas...

Ils espéraient que ça ceserait, un peu comem des enfants qui espèrent que la pluie va arrêter de tomber.

Dans le fond, en creusant la pallissade, ils ont creusés leurs propres tombes...

Et c'est tout pour aujourd'hui. Comentaires, impréssions? :)

En passant, un vote je n'aime pas ne veux rien dîre et ne va pas permettre une amélioration qui fera peut être en sorte que le voteur trouve finalement l'histoire à son goût ou que celui qui l'écris devienne de mieux en mieux... :)