Voici ma Fan Fic faite il y a un bon moment !
[spoiler=Le début]
« Enfin ! Tu es là !
- Désolé chérie, mais le roi d’Hyrule m’a encore convoqué.
- Encore ? Mais qu’a-t-il à toujours vouloir te voir ?
- Je t’expliquerai plus tard…
- Papa ! »
Une jeune fille, qui paraissait avoir environ 2 ans, courut vers son père qui venait de rentrer. Il était environ dix heures du soir.
« Aria ! »
Le presque heureux papa prit sa fille dans ses bras.
« Pou’quoi t’étais en r’tard aujou’d’hui ?
- J’ai dû voir quelqu’un.
- Et c’tait qui ?
- Aria, laisse ton père tranquille et va au lit ! Allez ! Viens !
- Roooh, bonn’nuit papa !
- Bonne nuit ma puce ! »
La mère de la jeune fille partit mettre sa fille au lit et redescendit voir son mari. Elle était inquiète. Son mari rentrait généralement plus tôt le soir et le Roi d’Hyrule qui n’arrêtait pas de le convoquer… Il devait certainement avoir quelque chose à lui demander. Elle craignait le pire…
« Alors ? Pourquoi le roi d’Hyrule voulait te voir ?
- Eh bien… Lydia, j’ai quelque chose d’important à te dire. »
Il prit une chaise et s’assit. Sa femme fit de même, tremblante.
« Que se passe-t-il ? s’inquiéta-t-elle.
- Une grande guerre a commencé en Hyrule et…
- Et … ?
- Et le roi d’Hyrule comptait sur moi pour l’aider. Je dois soigner les soldats. Je ne peux pas refuser… »
Un silence s’installa dans le salon. Lydia tremblait de tous ses membres, les yeux écarquillés se remplissant de larmes. Elle avait tellement peur…
Quelques minutes plus, elle réussi à retrouver sa voix et répondit :
« Si, tu peux refuser ! Pense à ta fille ! À ta famille ! Tu risques de mourir pendant cette guerre !
- Je sais ! Mais Hyrule risque de périr aussi ! Je dois y aller, je dois aider Hyrule… Le roi compte sur moi ! Ne t’inquiète pas, les déesses me protègent et protègent notre famille…
- Je l’espère…
- Je pars demain, mais je reviendrai, ne t’inquiète pas.
- Oui, reviens sain et sauf ! »
Et ils s’enlacèrent très fort.
Le lendemain
La petite fille descendit et regarda la place où son père s‘asseyait à table. Elle était vide.
« Où est papa ? demanda-t-elle.
- Papa est parti. Mais il reviendra ce soir, répondit sa mère d‘une voix sombre. Allez, viens prendre ton petit-déjeuner.
- Voui… »
Quelqu’un de blessé entra soudainement dans la maison.
« Madame… dit-il d’une voix souffrante.
- Oh ! Vous êtes blessé ! s’inquiéta-t-elle. Venez vous allonger ! »
Elle aida le jeune soldat à s’allonger sur la banquette du salon.
« Je vais chercher de quoi vous soigner. Aria, va fermer la porte de la maison et ne laisse personne entrer ! Sous aucun prétexte, c’est bien clair ? dit-elle d’une voix affolée.
La jeune femme partit chercher de quoi soigner sa blessure, les larmes aux yeux dans la pharmacie située juste à côté de la maison. Ce soldat était blessé. Son mari l’aurait soigné ! Où était-il, que faisait-il… Elle craignait le pire. Aria alla voir le jeune soldat et lui demanda :
« Vous allez bien m’sieur ?
- Oh… tu es… si mignonne… Ma pauvre… J’ai… une bien… triste nouvelle… à vous… annoncer… »
La mère d’Aria, en ayant tout entendu, revint avec ce qu’elle eut trouvé pour guérir la blessure et, tremblante et plus qu’inquiète, demanda quelle était la mauvaise nouvelle.
« Je suis désolé pour vous, répondit le soldat d‘une voix tremblante, mais… Il m’a dit de vous dire qu’il vous aimait fort et il a aussi prié les déesses pour qu’elles vous protègent , mais… »
Il était aux bords des larmes… La mère d'Aria, les larmes coulant sur ses joues, murmura :
« Mais… ?
-Un homme noir du désert a tué votre mari… pleura-t-il. »
Un silence lourd s’installa dans la maison. La mère d’Aria s’était effondrée. Elle pleurait toutes les larmes de son corps. Elle ne pouvait dire un mot. Elle ne pouvait croire ce qui s’était passé. Cela ne pouvait être vrai ! Aria, quant à elle ne comprenait rien à ce qui se passait. Elle regardait avec des yeux ronds sa mère en train de pleurer. Pour essayer de comprendre quelque chose, elle appela innocemment sa mère d’un petite voix.
« Maman…
- Aria ! C’est terrible ! pleura sa mère en prenant et serrant sa fille très fort dans ses bras. Aria ! Ton père… est mort ! »
Aria ouvrit grands les yeux. Elle vit que le jeune soldat ne bougeait plus. Il était lui aussi mort. Avant de s’évanouir, elle eut le temps de crier :
« Je déteste les hommes du désert ! Je déteste les hommes du désert ! »
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Voici la suite !
[spoiler=Chapitre 1 : La Livraison et le Mystérieux Garçon]
Il est 6h du matin… La mère d’Aria se dirigea dans sa chambre et vint la réveiller. Huit ans se sont écoulés. Mais la tristesse revenait parfois. Aria essayait de ne plus y penser, mais elle se disait à chaque fois que c’était cruel d’oublier que son père avait fait un acte héroïque. Il s’était battu pour sauver sa famille, et beaucoup d’autres familles.
« Aria ! Debout ! cria sa mère. On a une journée chargée aujourd’hui. »
La jeune fille se leva avec peine. Elle redoutait cette journée depuis des semaines. Aujourd’hui, elle devait faire l'aller-retour Lac Hylia-citadelle. Elle devait aider sa mère à amener les remèdes aux Zoras. Il paraît que la fille du Roi soit malade…
« Oh ! Je te parie que c’est pas vrai tout ça ! soupira Aria. Rappelle-toi de la dernière fois, ses médecins lui avait déjà ramené les médicament moins efficace que les nôtres et il était déjà tout guéri. Alors quand ils disent « Mais cette fois, ils nous faut vraiment les vôtres, je n’y crois plus !
- Oh, arrête un peu ! C’est mon travail je te rappelle ! Et plus, je suis heureuse d’avoir pas mal de clients ces temps-ci. Depuis la mort de ton père…
- Oh ! Arrête ça ! Je connais déjà la chanson ! Papa t’aider et les affaires marchaient mieux… Oh ! il aurait mieux fait de rester médecin ! Et de ne pas partir à cette guerre de malheur ! »
Aria éclata en sanglots. Elle ne voulait pas y croire. Comment le roi pouvait-il obliger son fidèle médecin à courir autant de risques ? Depuis cela, elle détesta la famille royale d’Hyrule.
« Aria ! Aria ! la consola sa mère. Arrête de pleurer. Ton père est avec les Déesses et il a promis qu’elles veilleraient sur nous. J’ai confiance en lui et toi aussi, Aria.
- Je sais, mais il me manque tellement ! dit Aria. Même si je ne l’ai connu qu’à peine 2 ans, il me manque !
- Oh ! Tu as vu l’heure ? paniqua sa mère. Nous sommes en retard ! Il faut vite aller au Lac Hylia !
- Pffff, on pourrait pas aller directement au Domaine Zora ? soupira Aria.
- Non, ils nous attendent au Lac Hylia car c’est plus faciles d’aller là-bas au lieu de passer par tous les ponts. Et puis, on ne peut pas arrêter cette cascade. Seule la famille royale le peut… »
Et elles partirent pour le Lac Hylia.
La route était toujours aussi longue, Aria détestait faire tout ce chemins pour des « bêtises » comme elle disait. « On aurait du le faire faire à cette princesse de pacotilles ! Je suis sûre qu’elle ne fait rien de la journée au lieu de parler de ces rêves prémonitoires ! » pensa-t-elle.
« Ooooh, c’est lourd ! J’en ai marre ! soupira-t-elle.
-Arrête de râler, nous y sommes presque ! » répondit sa mère.
Sur le chemin, elles croisèrent Talon et sa fille, Malon. Ils se dirent le bonjour. Talon allait livrer du lait au château. Puis, elles continuèrent leur chemin.
Après la livraison, elle retournèrent à la citadelle. C’était déjà le crépuscule. Aria voulait faire un tour au Ranch Lon Lon.
« Malon a insisté pour que j’aille voir sa nouvelle amie. Dit-elle à sa mère.
- D’accord, vas-y, mais ne rentre pas trop tard d’accord ?
- D’accord, promis ! »
Sur ce, elle courut vers le Ranch. Elle entra et elle ne trouva ni Malon, ni son amie. Elle demanda à Ingo si elle était déjà revenue, mais ce dernier grogna : « Moi, le Grand Ingo, je te dit que son père et elle ne sont toujours pas revenus ! Je devrait être le chef, le Grand Patron de ce Ranch au lieu de ce crétin de Talon, tu ne trouves pas ? » Aria ne répondit pas et elle fila vers la citadelle. Elle n’appréciait pas trop Ingo.
Sur le chemin, elle vit un garçon sorti tout droit le la forêt. Elle pensa : « C’est étrange, les Kokiris ne sortent jamais de la forêt d’habitude… » Et elle le suivit...
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[spoiler=Chapitre 2 : Un problème de médicament et l'Homme du Désert]Aria suivit je jeune garçon jusqu’à la citadelle. Mais une fois arrivée, elle ne le vit plus. Elle croisa par contre Malon.
« Ah ! Malon ! J’ai voulu te voir au Ranch, mais tu n’étaits pas là. T’étais où ? lui demanda Aria.
-Oh mince ! Désolée Aria ! répondit Malon. J’étais à la citadelle, on devait livrer du lait, mais mon père est en retard… Il a du encore s’endormir !
-Tu veux que j’aille voir ? lui proposa Aria. Je vais prévenir ma mère et j’y vais.
-Eh bien en fait… Un garçon de la forêt y est allé… »
Aria fut très surprise.
« Il devait se rendre au château et en passant, il trouvera sûrement mon père, repris Malon.
-Oh ! Je l’ai déjà vu, lui dit Aria. Mais c’est étrange tu ne trouves pas ? Un Kokiri ne sort jamais de la forêt normalement.
-Oui, c’est bien étrange… » trouva aussi Malon.
Elles se dirent au revoir et Aria rentra chez elle.
Le lendemain, Aria se réveilla beaucoup plus tard que d’habitude. Il était onze heures ! Quand elle vit l’heure sur la vieille horloge en bois qui était posée à coté de son armoire, elle se leva d’un bond. Elle descendit et elle remarqua que sa mère n’était pas dans la maison. « Elle est sûrement partie faire un tour. » pensa-t-elle. Elle alla s’habiller, elle prit un tout petit déjeuner et partit dehors. Elle vit sa mère se disputer avec une femme.
« Mon fils est encore plus malade qu’avant ! Vos médicaments ne font aucun effet, ils empirent la chose ! gronda la dame.
-Je suis désolée, s’expliqua la mère d’Aria. c’est la première fois que ça arrive…
-Je veux des médicaments efficaces sur le champs ! s’énerva de plus en plus la femme. Et je ne veux rien payer !
-Mais, madame ! Je vous ai donné de bons médicaments ! Ils ne devraient pas agir com…
-Cela suffit ! la coupa la cliente. Je veux que mon fils guérisse ! Donnez moi TOUT DE SUITE des médicament avant que je ne porte plainte !
D’accord ! Je vous prépare ça tout de suite ! »
La mère d’Aria et la femme se dirigèrent à la pharmacie qui se situait à coté de leur maison.
Aria n’en revenait pas ! C’était la première fois qu’un client se plaignait ! Les médicaments de la mère d’Aria étaient les meilleurs d’Hyrule ! « C’est vraiment pas normal… Il se passe des choses bien étranges en ce moment… Ça me fait peur ! » pensa-t-elle. Puis, la cliente partit avec son médicament.
« Voilà comment on fait pour perdre un client... » soupira la mère d’Aria.
La journée passa… Aria était allée voir la fameuse amie de Malon. C’était une petite pouliche du nom d’Épona. Elle était adorable. Malon et elle s’amusaient à la faire galoper dans tout le pré. Épona était contente et les filles aussi.
« On ne peut pas encore la monter, elle est trop jeune ! » avait averti Malon. Puis, elle allèrent chercher quelques pommes pour en donner à la pouliche. Cette dernière paraissait ravie.
« Tu as de la chance de l’avoir… J’aimerai bien avoir une amie comme ça des fois, à la maison… disait Aria.
-… Je vois. Dit Malon. Eh mais ! Viens plus souvent ! Je m’ennuie des fois moi. Et il y a le petit gars vert qui vient aussi, on pourrait jouer tous les trois !
-Tu as raison. Lui répondit Aria.
L’après-midi passa. Aria alla pour rentrer à la pour rentrer chez elle.
Plus tard…
« Pfff… J’ai rien à faire ! Ça m’énerve !!! » s’énerva-t-elle.
Elle tournait en rond depuis une heure… Elle ne cessait pas de penser au petit gars vert. « Que peut-il bien faire en ce moment ?» pensa-t-elle. Elle se leva de son lit, prit son petit sac là où elle met tous ces objets précieux pour ne jamais les perdre et partit dehors.
« Où vas-tu Aria ? lui demanda sa mère étonnée. Il est déjà tard.
-Je m’ennuie… je vais faire un petit tour ! Dit Aria avec un grand sourire.
Aria sortit et se dirigea vers la place du marché. Puis en y arrivant, elle entendit et vit un cheval blanc hennir et des gens crier : « Princesse ! Princesse ! Où allez-vous ! » Elle fut énormément étonnée. La princesse Zelda fuyait le château !
« J’avais raison ! Tout va vraiment mal en ce moment ! Où… où est-ce gars vert là ? Je suis sûre que tout est de sa faute ! »
elle vit un des hommes qu’elle haïssait depuis toujours… Elle vit un homme du désert…[/spoiler]
[spoiler=Chapitre 3 : Le début de ces 7 années de malheur…]
Aria n’en revenait pas. Depuis tant d’années, elle le pensait mort pendant cette guerre… Elle ne pouvait pas l’imaginer encore EN VIE ! Et pourtant, il était là, devant ses yeux. Elle ne savais pas quoi faire. Se ruer sur lui pour tenter de le tuer ? Non, elle était beaucoup trop jeune et bien trop faible comparé à lui. Elle se mit à pleurer. Pourquoi ? Pourquoi n’était-il pas mort ?
[/spoiler]
J'ai pas fini d'écrire le chapitre 3.
Voilou !
