Bienvenue !

[Benth]

Bonjour ! Je viens poster ici une petite histoire que je viens d'ecrire. Dites moi tout ce que vous en pensez !


BIENVENUE !



   L'homme était en face de moi, le pistolet pointé sur moi, se préparant a tirer. Mais comment en étais-je arrivé là ? J'était venu pour faire mes courses et j'ai été pris dans un braquage terroriste... Il y a seulement 1 heure !



   J'étais dans ma voiture, en train de rouler, la radio allumée sur fun. La radio était en train de passer Replay de Iyaz , j'arrivais enfin dans le parking du magasin. Je dépassais le panneau avec marqué dessus Bienvenue ! en lettres noires et droites. Je traversais le parking en essayant de trouver un place tranquille dans un coin, pour que personne ne vienne me coller de trop près, j'en trouvais enfin une où je me garai et sortait avec une pièce de caddie, allais en prendre un et rentrais dans la grande surface. J'allai au rayon alimentation pour prendre de quoi manger mais pour y aller il fallait que je passe par le rayon des DVD, j'en profiterait pour en prendre un. En cherchant quoi prendre je vit un homme essayer de voler quelque chose, il avait le crâne rasé, une veste en cuir sans manche, laissant apparaître des bras musclés avec de multiples tatouages. Il avait le visage dur et une cicatrice lui entaillait une joue. Il me fixa aussi et je me dit qu'on devait avoir l'air stupides, le grand baraqué contre le gringalet, étant donné que je n'en pas très musclé, pas bien grand non plus. Enfin même si je n'en pas plus musclé que ça j'avais quand même de la force dans les bras. 
   Un agent de sécurité vint et interpella l'homme :
« - Monsieur, veuillez reposer ça tout de suite ou je, me verrai dans l'obligation d'appeler la police.
-Fermes ta gueule sale clochard. » répondit le baraqué.
   L'homme parla très calmement puis sortit quelque chose de sa poche revolver. Une détonation. L'agent s'écroula avec fracas sur le sol. Un trou avait été percé dans sa poitrine et une tache rouge grandissait sous sa veste blanche, venant tacher le sol. Le baraqué l'avait tué et il avait toujours le pistolet pointé sur l'endroit ou se trouvait l'agent il y a 5 secondes. Il me regarda et marmonna...
« - Tous...tous...tous vous tuer... Tous...vous...tuer... »
Je n'attendit pas mon reste et partit en courant tandis que je voyait fouiller dans ses poches, peut être avait t'il des grenades ou alors des minis mitrailleuses... Mais je m'en fichait moi pour le moment je tenait a fuir ce taré ! Je courait et entendait des coups de feu, il devait encore avoir abattu quelqu'un, ce qui me terrifia mais je ne pouvait plus m'arrêter, mes jambes m'en empêchaient. Je courai a en avoir le souffle coupé et je me dit que je devait bien avoir battu le record du monde de 100m... mais tant pis, je ne pouvait que fuir ! Je tournai a droite dans le rayon boulangerie et resta la , écroulé de fatigue, tandis que tout le monde hurlait en fuyait. Jamais je n'avait vu un magasin avec autant d'animation, même pendant les soldes !  Soudain une puissante détonation se fit entendre, et le bruit de boites de conserve qui tombent par terre et le cris de plusieurs personnes. Je me levait et jetait un regarde furtif pour voir ce qui venait d'arriver et ce qui je vis fut horrible, un tas de personnes gisaient par terre et des flammes léchaient le toit du bâtiment... Une véritable apocalypse. Et juste devant moi se tenait le baraqué, revolver pointé sur moi.


   Tous les yeux étaient sur nous, attendant la fin de ma vie. Personne n'osait fuir, comme si ils avaient peur de se faire tuer si ils bougaient, ce qui risquait d'arriver. Je restait immobilisé, attendant la mort. L'homme était devant moi, il suffisait pour lui de me tirer dessus et ce serait fini. Mais pourquoi ne tirait t-il pas ? Pourquoi ne me butait t-il pas comme il a tué les autres ? Il parla:

« -Donne moi... ton ... médaillon.. »

   Que voulait-il a mon médaillon ? Il était tout a fait normal ! Il était tout doré grâce a de la peinture et avait un œil dessiné dessus... Un babiole que l'on peut trouver a n'importe quelle bijouterie ! Mais il répéta:

« -Ton médaillon... Tout de suite ! Ou  je tue... tout le monde... 
-Pourquoi le voulez vous ?
-T'occupes... Donne le... moi... c'est tout...
-Je vous le donnerez si vous me dites pourquoi vous le voulez.
-TA GUEULE ! Donne... le moi... C'EST TOUT ! »

   Il appuya sur la détente. Cela fit un simple « Click ! » et rien ne sortit. Reprenant mes esprits je frappais l'homme au visage, l'envoyant a terre, fuyait vers la sortie du magasin, espérant m'extirper de ce cauchemar aussi vite que possible. Je fuyait et tout le monde fit de même quand soudain nous nous arrêtions tous car nous entendions le cris de l'homme:

« -AAAARGH ! TOUS ! JE VOUS AUREZ TOUS ! ALLEZ AU DIABLE JE VAIS TOUS VOUS CREVER ! »

   Tout de suite on repartit sous les cris de l'homme. On entendit un bruit comme si...comme si un chargeur sortait ! Il remettait des balles dans son pistolet ! Ça m'aida a courir plus vite, avec l'énergie du désespoir. J'atteignait la sortie sous les coups de feu de l'homme fou et courait de plus en plus vite. J'atteignait enfin ma voiture... J'essayait de sortir les clés de ma poche mais ma frayeur me rendait fébrile, ce qui fait que je fit tomber les clés par terre et du les ramasser. Je me relevait et essayait de les mettre dans la serrure mais je n'y arrivait pas, ne faisant que faire des rayures a la voiture... Je bataillait mais réussit finalement a mettre me clés a l'intérieur et ouvrit la portière. Je m'installait et démarrait mais, à ma plus grande frayeur, je vis l'homme essayer d'ouvrir ma portière,  il était devenu pourpre comme quelqu'un qui s'étouffe mais forçait de plus en plus. La sécurité n'allait pas tenir longtemps et de plus ma voiture ne voulait pas démarrer ! Soudain l'homme ouvrit au même moment ou ma voiture démarrait... pour caler deux secondes plus tard ! Le baraqué se jeta sur moi et me jeta en dehors de la voiture. Il prit son pistolet et me visa, tira, mais me rata grâce a une roulade qui me fit échapper a la mort... pour le moment ! Je lui fonça dessus et le percuta, lui faisant voler son pistolet plus loin. Mais il m'envoya un autre coup qui me mit a terre. Il sortit puis me sauta dessus pour me frapper mais je réussit a me protéger et a lui envoyer un coup dans la mâchoire. L'homme était maintenant gris, comme un mort, mais pourtant était toujours plein de vitalité vu les coups que je recevait ! Nous nous roulions par terre en s'envoyant des coups puis il me jeta plus loin et mis la main a sa poche pour en sortir un couteau a cran d'arrêt avec un manche en ivoire blanc et une lame d'une quinzaine de centimètres... Il se jeta sur moi pour essayer de me donner un coup de poignard qui je contrait avec mon avant bras gauche tandis que le droit lui envoyait un coup dans le ventre. Il eut le souffle coupé ce qui me permit de lui envoyer un autre coup dans le visage avant de me faire enfoncer le couteau dans l'épaule droite... Je criait et me tordait par terre tandis qu'il se relevait et me frappait avec ses pieds... Fatale erreur car je pu du coup lui envoyer une balayette tandis qu'il avait un pied levé pour me frapper. Il fut déséquilibré et tomba par terre en s'ouvrant le crâne, laissant échapper son couteau qui alla rouler plus loin, la lame ensanglanté par mon épaule. Je me relevait et allait prendre le couteau puis ensuite me remit dans ma voiture en regardant l'homme qui gisait par terre, le crâne ouvert et la tête noircie reposant dans une flaque de sang. Je mettait le contact et partit aussi vite que je pu, j'arrivait au panneau Bienvenue ! lorsque j'entendit une détonation et un pneu explosa. Le baraqué n'était pas mort et il venait de me crever un pneu avec son pistolet... Il avait du le récupérer lorsque je m'enfuyait.  Je regardait dans le rétroviseur et vit l'homme arriver en courant vers moi. Je sortit et lui lança le couteau dessus, mais je ratait ma cible. Et je n'avait plus rien a lancer a part... mon médaillon ! Je le décrochait et le lançait sur l'homme. Il l'attrapa dans une main et une horreur se produisit: l'homme fut entièrement soigné et il avait a nouveau le visage normal... Il vint vers moi en marchant tranquillement tandis que je restait paralysé par la peur. Il sortit son pistolet et tira deux coup: un dans chaque jambe. J'hurlait de terreur et de douleur puis me tordit par terre tandis qu'il se mit au dessus de moi et me dit:

« -Vois-tu, ce médaillon est un vieux médaillon maya. Je l'avait il y a quelques années avant que l'on ne vienne faire une perquisition chez moi et que l'on vende ce médaillon dans une bijouterie... Quand je t'ai vu avec j'ai eu un choc. Alors je voulut tout faire pour le récupérer et maintenant que je l'ai, je peux te dire adieu ! »

Et il appuya sur la détente, je vis le noir du canon devant moi, la balle arrivait sur moi, presque au ralentit... et ce fut la fin. Juste sous le panneau Bienvenue ! qui aurait plutôt du indiquer Au revoir !

[Gabriel10]

C'est quoi cette fixation pour les histoire pseudo violentes, sans but et mal construites?

Ok, tou d'abord j,ai l'impréssion que tu n,as suivi aucun des comentaires de membres sur ton précédent texte. Regrettable je dois dîre. Le tout est trop rapide, répétif, sans aucun sens et, de plus, d'une banale débilité dans le propos et l'évolution. Un méchant très méchant qui tue tout le monde, un gentil qui est pas supposé être fort mais qui est super puissant, des actions qui ne suivent aucun fil conducteur. en somme, un mince fillon d'histoires servant à n'exposer qu'une platitude lâssante aux péripéties inintéressantes et peu développées.

Pourtant, un tel sujet peut être intéressant, il te suffit de mieux l'articuler. Moins de répétitions, un fil conducteur, une évolutoion contante et de meilleures descriptions sont déjà un bon début. Une amélioration au niveau des personnages, moins de clichés et des lieux plus détaillés seraient d'autre pas dans la bonne direction.

Tout ces point font de cette histoire une suite d'actions inutiles qui ne servent, visiblement, à promulguer une suite de violences style "hyperactif de primaire" ce qui rend un produit final, il en va de le dire, pas super.

Retravaille et représente une nouvelle version. Ou bien, si tu préffères, abandonne ton histoire sous le poids de la difficulté et des comentaires comme tu l'as fait la dernière fois.

Je ne te le conseil pas cependant. Car si tu écris pour toi, une fois présenté, tu dois aussi le rendre lisible à tes lecteurs potentiels.

[Benth]

J'ai changé quelques trucs sur mon texte, j'y travaillerai dessus plus approfodis quand j'aurais un peu plus de temps.



Benth