Analyse littéraire...

Démarré par yugi, 03 Novembre 2008 à 20:12

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Bonjour.

J'ai seulement un petit problème, je dois composer un commentaire composé sur le texte Brasiers de Stanley Pean. Mais je n'arrive pas du tout, je suis trop mauvais.

Comment est-ce que nous pouvons faire cela. je sais qu'il faut que j'exploite le terme du racisme, mais comment ?

C'est un petit devoir...
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

Il est dur de t'aider sans avoir nous même avoir le texte sous les yeux.
Sachant qu'on t'as déjà donné un axe de lecture tu dois être en seconde (ou substitue si tu es dans un pays francophone)

Commence par situé le texte et son auteur dans leur siecle, relève les figures de styles et analyse-les pour en déduire le genre ect
Le commentaire est, en français, un exercice très libre, tu peux mettre un peu près tout ce que tu veux du moment que tu t'appuie un minimum sur le texte. 

03 Novembre 2008 à 21:58 #2 Dernière édition: 03 Novembre 2008 à 23:32 par Octorok
C'est un texte, écris par un auteur québécois.

Le texte, je peux l'écrire, mais je ne vais écris que la deuxième partie, celle qui selon moi a le plus de sens et est plus facile à analyser.


*texte retiré*

Il y a d,autre parties, que je vais plus tard, mais pouvez-vous me dire ce que vous voyez, je suis tr'es mauvais en figures de styles.
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

03 Novembre 2008 à 23:31 #3 Dernière édition: 04 Novembre 2008 à 11:48 par Octorok
Le racisme est un sujet qui semble te plaire non ? :rolleyes:

Non désolé, ce n'est pas parce que ce texte n'est pas de toi qu'on peut excuser de tels propos racistes sur le forum. ;)
D'ailleurs ça m'étonne qu'on vous fasse étudier ce genre de texte à l'école. Le post de Sephiro peut t'aider déjà beaucoup et te donner un départ pour ton commentaire, en ce qui concerne les figures de style tu peux par exemple t'orienter sur le vocabulaire très péjoratif et familier du texte. ;)
Bon courage.

Edit : Topic réouvert pour discuter des explications de texte, des commentaires, de quels arguments utiliser pour commenter un texte traitant du racisme. Pas d'insultes ou de propos racistes, même si ça fait partie d'un texte, merci. ;)

Citation de: Sephiro le 03 Novembre 2008 à 20:50
tu peux mettre un peu près tout ce que tu veux du moment que tu t'appuie un minimum sur le texte. 
C'est pas forcement facile pour certain. :ninja:
Personnellement j'ai horreur de cité un texte et souvent, j'y prête pas attention et j'explique tout sans citer. Ca m'en vaut des notes... >_<
C'est une chose fondamentale, après faut savoir dire si ça c'est un chiasme ou un oxymore ou un machin ou une litote. Bouarf ça me sort pas les trous de nez ça! Et dire que je dois analyser un texte cette aprèm! ^^'

Je suis d'accord que sans l'aide du texte on ne puisse rien faire, mais bon...
(Oui, après tout un texte est une citation envers le quel, à la base nous n'éprouvons aucun accord ni un désaccord, c'est seulement par les propos qui s'en diffusent pas la suite que l'on peut trouver du racisme...)

Bon, en passant plus précisément au sujet, est-ce que tu dois exprimer un point de vue lorsque tu écris, ou est-ce que tu dois simplement commenter en mettant de coté tes sentiments?

Si tu dois juste faire le commentaire alors bonne chance, tout t'as déjà été dis.
Si tu dois prendre un point de vue, hésite pas à persuader et convaincre dans ton texte!

*part sur son devoir chauffé*

Hum... Par contre vérifie quand même que j'ai pas dis de connerie, j'ai essayé de t'aider mais voilà... ^^'

Il me semble que dans un commentaire composé ont ne doit pas donné sont point de vu à l'inverse d'une dissertation.

Normalement pour un commentaire composé, une question t'est donné ou alors c'est dans une lecture analytique qu'on a une question jm'en souvient plus.

En tout cas si tu as une question, relie le texte et surligne tout les passages qui ont un rapport avec, et ensuite trie les entre les plus importants aux moins importants.
I need a sign ^^'

Ce n'est pas du tout facile cela.

Comment savoir si un apssage est moins important que celui-ci.

je peut voir certaines choses.
Le ça qui est en italique, pour désigner le noir
le terme sale nègre qui revient toujours.
le champs lexical péjoratif, bête puante, plaie ambulante...
Les métaphores.
Une orage tropical s'abat sur lui,  c'est un crotte....
mais lesquelles sont plus important que les autres ?
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

Ben les répétition sont les choses qu'on repère tout de suite sans qu'on y prète forcément attention donc se sont les plus importantes. Mais attention il se peut que ce que je dise soit complètement faut  :mrgreen: chui pas trop doué en français mais quand je procède comme ça en général sa marche.
I need a sign ^^'

J'avais essayé de faire une analyse littéraire avec le texte, un beau jour de pluie.
Ca donne cela.
Quelques chose que j'ai très peur qui me fasse échouer. Pouvez-vous m'aider ?


Analyse.
Nous avons presque tous un but dans notre vie, certains son atteignables et d'autres, non. Le bonheur est l'un de ces buts. Aujourd'hui, j'ai lu un texte qui en traitait soigneusement : un beau jour de pluie de Odette TOULEMONE. Ce court texte met en scène le bonheur à travers l'histoire d'une femme ayant un passé misérable et cherchant la perfection. L'auteur l'a placé sous toutes ces formes.


Au début du texte, l'auteur nous fait remarquait le triste passé de cette pauvre femme qu'est Hélène. Elle possède un idéal du bonheur trop haut pour elle, en réalité, elle est perfectionniste. Par ailleurs, cette manie qui la fait lâcher prise chaque qu'elle voit un défaut, ce qui lui donne un aspect du bonheur presque inatteignable. L'auteur nous le montre très bien, lorsqu'il écrit : « elle, collectionnait par idéalisme... Chaque nouveau garçon lui semblait être le bon... Lorsqu'il apparaissait tel il était, elle l'abandonnait. » (P.45) Il n'est pas nécessaire d'être sorcier pour comprendre cela, elle vit le grand amour au début puis, elle s'écoeure, elle s'énerve et elle ne désire plus ce garçons, le voyant ses défauts, elle le trouvent maintenant, laid, horrible, hideux, vile, etc. Alors cela nous donne un aperçus de cette femme, qui veux tout ou rien, et cela nous laisse sous-entendre qu'elle ne trouva peut être pas le bonheur si elle continue comme cela. Ainsi l'auteur nous fourni beaucoup de métaphores et de figures de style pour que nous comprenons cela. Dans la page 49, il a glissé deux comparaisons. « Comme s'in n'avait jamais soulevé le couvercle d'un esprit pour découvrir à quel point ça puait, ça grouillait. » Ici, il nous lance une métaphore et une comparaison, il compare Antoine à un pauvre homme, innocent, idiot, victime de ses illusions puis il nous fait voir un esprit comme un vase, un vase fermé  qui renferme une odeur désagréable, c'est une comparaison dégradante pour l'âme, qui n'est pas comme cela. Finalement, il nous apporte le bonheur sous un autre déguisement. Un très beau déguisement. Ici, je vais l'accent sur la comparaison de ces deux costumes : « il y a appréciait la valeur des objets tant qu'elle reniflait la mort.(p.51) » L'auteur superpose ces deux conceptions complètement opposé, il dévoile la conception sous sa vraie nature, une idée reliée à la mort, au désespoir, du au fait qu'elle n'a jamais ce qu'elle veut. Ainsi, cette phrase démontre l'absurdité de la perfection, si elle renifle la mort dans un magasin calme, elle doit être désespérée. Lui les voit et les apprécie, alors qu'elle les dégrade.


En conclusion, nous pouvons observé le fait que le bonheur est dans l'esprit du texte et que l'auteur en traite avec soin. Il dévoile des aspect de ce dernier, un joyeux et un négatif, ces deux, étant les extrêmes, celle qui dégrade tout et celui qui aime tout, nous retrouvons tous entre ces deux individus, reste à savoir, où.
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

Citation de: yugi le 04 Novembre 2008 à 15:11
Ce n'est pas du tout facile cela.

Comment savoir si un apssage est moins important que celui-ci.

je peut voir certaines choses.
Le ça qui est en italique, pour désigner le noir
le terme sale nègre qui revient toujours.
le champs lexical péjoratif, bête puante, plaie ambulante...
Les métaphores.
Une orage tropical s'abat sur lui,  c'est un crotte....
mais lesquelles sont plus important que les autres ?

     Si tu repères ça, c'est déjà bien. Après, si tu veux savoir comment sélectionner, cela dépend de ton plan:

     Par exemple, dans ton texte, il semble que l'auteur dénonce le racisme, tu peux faire une première partie sur ça. Tu peux ensuite faire une seconde partie où tu expliques que malgré tout il garde une certaine distance avec ses propos, comme "l'orage tropical" dont tu parles par exemple... (ce n'est qu'un exemple, à toi de trouver deux ou trois parties assez équilibrées et qui permettent de comprendre le texte dans son ensemble :))

     Bref il te faut d'abord savoir ce que tu veux dire sur le texte. Ensuite, tu prends la liste des figures de styles, des idées, etc. que tu as repérées et tu les classes: qu'est-ce qui va dans la première partie, dans la seconde, etc?
Tu peux faire des sous-parties si tu n'arrives toujours pas à sélectionner. Attention cependant, ça dépend des professeurs....  Mais globalement dans l'une de tes parties tu auras des sous-parties ( pour les sous-parties, ne saute pas de ligne mais va à la ligne tout simplement, et fait un alinéa, que l'on comprenne que ça reste dans la même partie).

    Après, le reste sera dans ta façon d'écrire. Tu passeras plus de temps à expliquer les figures de style que tu juges importantes parce qu'elles mettent en valeur l'idée générale de ta partie, et tu passeras sans doute moins de temps sur celles qui sont plus anecdotiques.

   Bref, pour savoir ce qui est important, pose-toi simplement la question: dans quelle partie puis-je placer cela et surtout pourquoi? C'est alors que tu te rendras compte si cela vaut vraiment la peine d'être dit ou non ;).

   Enfin, n'oublie pas que dans tout commentaire composé, tu as une introduction qui permet d'annoncer le texte, l'auteur, la problématique (la question que l'on se pose) et le plan du texte. En général ça donne quelque chose du genre:

  Dans le texte *** écrit par *** en ***, on remarque que l'auteur défend que ***************. Mais comment défend-il cette idée et pourquoi? (=problématique). Pour répondre à cette question nous verrons d'abord que ********* (=annonce de la première partie) et enfin que ************* (annonce de la deuxième partie).

    C'est une introduction réduite au stricte minimum, en général c'est bien de développer un peu plus, par exemple en citant le contexte de l'écriture de ce livre...

   Et puis aussi la conclusion, de formule Rappel des parties + Bilan + Ouverture. Ca ressemble donc à ça:

     Au terme de cette analyse, après avoir vu que ****** (première partie) puis que **** (deuxième partie), nous pouvons affirmer que ******* (=Bilan, c'est-à-dire la réponse à la problématique posée en introduction). Nous remarquons que la discrimination est un thème récurrent en littérature, mais que ce ne fut le cas qu'à partir d'une certaine date. Nous pouvons donc nous demander qu'est-ce qui a fait que ce thème est devenu plus récurrent au fil des siècles? Est-ce parce qu'il est devenu moins "tabou" ou est-ce dû à une prise de conscience collective, une évolution des moeurs?...(=ouverture)

     Voilà une conclusion assez rapide, l'ouverture n'est pas terrible, il faut que ça ait quand même un rapport avec ton analyse. L'ouverture, en fait, c'est une question, et tu dois donner l'impression que c'est en analysant ton texte que tu as fini par te poser cette question... :)


   Voilà, je crois t'avoir expliqué de mon mieux ce qu'était un commentaire de texte :D. J'espère que cela t'aidera :).

Heu attend, t'est en quel classe? parce que il te demande peut être pas un vrai commentaire composé.

Dans un commentaire composé il y a plusieurs paragraphes distincts qui traite d'un sujets particulier, de plus dans l'intro tu dois définir le passage et même faire un cour résumé de quelque mots sur la vie de l'auteur, de plus ton texte me parait très cour alors est-ce vraiment un commentaire composé que tu doit faire?

EDIT: heu en ynanome t'a bien résumé le truc  :mrgreen:
I need a sign ^^'

Je commence mes cours de cégep.

Je ne sais pas du tout comment faire, je devrais sûrement poser des questions au prof.
Qu,est-ce qu'il y a de mal avec mon texte, quelle erreur ai-je faite ?
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

04 Novembre 2008 à 23:19 #12 Dernière édition: 05 Novembre 2008 à 16:52 par Sephiro
Citation de: zora vert le 04 Novembre 2008 à 18:51
Heu attend, t'est en quel classe? parce que il te demande peut être pas un vrai commentaire composé.

Il doit un être en seconde (première année du lycée/france) puisqu'on lui demande de ce concentré sur un seul axe de lecture qu'est le racisme. C'est seulement en première qu'on lui demandera de développé le texte en trois thèmes (organisé eux-même autour de plusieurs idées/paragraphe) autour d'une problématique. Tout ça bien structuré autour du sacrosaint plan Intro/ développement/ conclusion.

Le cégep du Québec équivaut à la Terminale en France ;) Je parle au niveau de l'âge. Après, niveau apprentissage, j'en sais rien ^^

Je n'en sais pas grand chose.
Tout cela dépend de comment tes professeurs se sentent.
S'ils veulent te faire échouer parce qu'il ne t'aime pas la face, alors, il ne vaut mieux pas rester dans leur cours et en choisir un autre.
certains sont très cléments et nous permettent de poursuivre nos examens à la maisons et d'autres ne le sont pas du tout.
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

05 Novembre 2008 à 23:35 #15 Dernière édition: 06 Novembre 2008 à 00:45 par Sephiro
Concentre toi sur ton commentaire au lieu de jouer le numéro du pauvre élève persécuté !
Edit C'était juste une façon de te dire : Courage ne perd pas ton temps !  :rolleyes:

Euh Sephiro, tu es déjà à éviter, alors n'aggrave pas ton cas s'il te plait...

06 Novembre 2008 à 00:36 #17 Dernière édition: 06 Novembre 2008 à 01:23 par Sephiro
C'est bête de fonctionné sous la menace, mais bon, ok, plus de remarque désobligeante. (sa serait peut-être mieux passé avec un smiley ^^)

Appartement Yugi, tu nages dans le vague, demande à ton prof ce qu'il veut de toi dans ce devoir. Car à priori tu n'as jamais fais de commentaire composé dans son intégralité et le travail que tu nous a montré ce rapproche beaucoup plus d'une analyse préliminaire que d'un vrai commentaire.
En ciblant, on pourra mieux t'aider  :)

Si je me tiens à ce qu'il m'a dit, il voulait que je développe une idée et que la traite durant tout le texte
Dans brasiers :  Il fallait que je traite de l'idée du racisme.
Dans  Un beau de pluie : mon thème était le bonheur.

Puis il me demande de trouver des idées secondaires.
Donc dans brasiers, j'ai voulu prendre le champ loxical qui tournait autour de cet pauvre, les mots qui sont utilsés pour le désigner, puis montrant le mépris qu'il ont de cet homme qui les conduira à le brûler.

Dans le deuxième, je m'était plus fiée à cet aspect de perfectioniste, puis j'ai regardé l'autre coté de la médailles, mais après, je me perds.
Posté le: 06 Novembre 2008 à 02:32
Double post.

J'ai tout essayer vos conseil mais en vain.

Je ne sais pas pourquoi, la seule chose que j'ai réussit à produire, c'est ce-ci. Une analyse sur La Mémoire de Lac, de joel champetier, et il manque toujurs la conclusion. Je sens mon échec.



Depuis toujours, le récit fantastique est récit qui joue sur la mince qui partage l'imaginaire et la réalité. C'est un récit difficile à écrire et qui demande beaucoup de tallent, la réalité et l'imaginaire sont très difficiles à définir. Mais cela, c'est ce que La Mémoire de lac de Joël Champetier fait avec excellence. Dans cette analyse, nous nous intéresserons à cette atmosphère d'inquiétante étrangeté. Par ce fait, nous allons voir à quel point le roman joue sur cette mince ligne. En commençant nous allons voir que le lac dans ce roman, n'est plus qu'un simple, mais aussi un personnage en lui-même. Dans un même ordre d'idée, nous allons voir à quel point ce personnage que devient le lac Témiscamingue. Contribue à cette atmosphère d'inquiétante étrangeté.


Pour commencer notre analyse, nous allons voir que dans le roman La Mémoire de lac, le lac est un personnage à part entière, complètement indépendant des autres qui interagissent dans l'histoire, nous pouvons le voir de bien des façon. Vers la fin du livre, dans le chapitre 18, lorsque Daniel tire sur son fils, Éric Massicot, celui qui vient de tuer sa femme, le lac prend soudainement un forme noire et parle à Daniel. « Il ne mérite pas de vivre. Il a tué ta femme.  271», c'est ce qu'il dit lorsque ce dernier essaie de sauver son fil des eaux menaçantes du lac Témiscamingue. Le lac a maintenant reçu une voix,  une voix qui fait de lui presque d'un être humain. Dans un même ordre d'idée, nous nous apercevons à la fin qu le lac intervient dans la vie de Daniel Verrier, ce-ci est flagrant lorsque ce dernier se noie, il se heurte la tête la glace sur une épaisse couche de glace, puis il en sortit étrangement, ce que le lac a fait parce que cet homme avait un troisième enfant.  Cette voix, ces actes lui donnent un statut bien particulier, nous pouvons ainsi le considérer comme un personnage au même titre que Daniel Verrier.  Dans cette histoire, nous pouvons effectivement voir que le lac a un rôle bien particulier, il est devenu au fil du livre un personnage bien particulier, caché entre la réalité et la fiction, il se joint merveilleusement à cet univers. Il ne faut pas nous le cacher, il possède une voix, il agit, il contrôle, il a une volonté, donc il possède tous les traits d'un personnage.  Ce personnage qui est tissé une mince ligne se trouvant entre la réalité et la fiction.



Dans un même ordre d'idée, il serait intéressant de noter à quel point el lac contribue à cette atmosphère d'inquiétante étrangeté qui règne dans le roman. C'est un roman qui nous prend souvent par surpise, par plusieurs points. Le lac est tellement important qu'il est rendu presque omni présent dans cette histoire, il est présent dans les souvenirs de Daniel Verrier, il est mentionné dans ses illusions, tout ce la devient rapidement inquiétant. Lorsqu'il tient le bébé de son ami dans les mains, nous assistons à une scène complètement inattendue, son regard devient dur et rempli de colère puis il parle, il dit : « il faut finir la job Daniel, le lac attend. » le fait qu'un bébé parle comme cela est relativement étrange, en réalité, normalement, il ne parlerais, ce qui est lus bizarre, c'est que le lac soit mentionné, cette unique action nous laisse supposer une foule d'évènement que nous ne pourrions pas savoir s'ils sont arrivés ou non. On est laissé sur notre faim. Il y a aussi d'autre chose qui sont à remarquer, Il s'agit ici de la légende amérindienne sur l'esprit du lac, il faudrait notez que la manière dont l'histoire se déroule nous laisse complètement croire que celui-ci est vraie, sans pour autant nous le confirmer, nous vous bien savoir si cette légende amérindienne est, mais nous le saurons jamais. Comme je le disais, le roman nous laisse sur notre faim, il est parfaitement de possible de penser et de mettre les points sur les i par nous même, selon notre perception de l'histoire, mais aucune ne sera confirmée.
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.