L'art des ténèbres, par yugi

Démarré par yugi, 22 Juillet 2008 à 04:09

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22 Juillet 2008 à 04:09 Dernière édition: 22 Août 2008 à 17:21 par @PyroNet
Bonjour, Je vous présente aujourd'hui ma fan fiction de zelda


Je me réveillai en sursaut cette nuit là. Après avoir laissé mes mains se balader partout sur mon corps, j'ouvris finalement mes yeux sans voir la lueur du jour. J'essayai de me tisser hors du lit, mais je tombai durement sur le sol. Je sentis un objet dur toucher mon dos. Je laissai mes mains se refermer sur ce dernier qui se révéla comme mon épée et je me levai. Mes yeux essayèrent de percer l'obscurité, mais je ne trouvai que les formes de ce qui m'entourait. Je sortis de ma maison et je descendis l'échelle. J'atterris sur un sol trempé et ma maladresse obligea mon pied à s'accrocher à une racine pour causer mon écroulement. Je découvris une lettre qui gisait sur la terre à deux pouces de mon nez, je la ramassai et je l'observai. Je me rappelai rapidement que moi et mon ami, Hazhéo, nous avions reçu des lettres qui disaient que la princesse nous demandait. Ma pensée logique me fit comprendre que j'étais loin d'être le héros de tous les jours. Je me souvins à quel point j'étais plus faible que mon ami, Hazhéo. La seule que je pus me trouver comme point fort fut ma force physique. Mes yeux quittèrent la lettre alors que la la^chai et trouvèrent un silhouette dans la nuit. Je la regardai se tenir droit puis calmement elle s'avança vers moi dans le milieu de la nuit et me tendis une main que je saisis. Sa vigueur était la preuve que mon comagnon se tenait devant moi.
- Bonjour, Dmïtrï, tu es toujours aussi mal en point que d'habitude.
Dés qu'il prononça mon ancien nom, des souvenir terribles sortirent des entrailles de mon cerveau et hantèrent ma logique. Mes crimes et mes fautes me causèrent une nausée. Je me contrôlai en prenant une bonne respiration puis je lançai mon attention vers mon ami.
- Est-ce que tu nous quittes Hazhéo? 
- Je pars, mais pas pour toujours. 
- C'est à cause de cette lettre. 
- Oui, Dmïtrï. Tu étais en train de te préparé comme moi, n'est-ce pas. 
- Non, je me suis réveillé en tombant sur mon épée. Je voulais partir demain et parler à mon amie.
- Tu parles de Saria? Celle qui t'a donné ce bel ocarina, cet instrument magnifique que tu tiens toujours dans ta poche gauche dans te rendre compte.
Ma mais effleura la partie de ma tunique verte qu'il venait de spécifier, mon bijou s'y trouvait effectivement.
- Ne t'inquiète pas. Elle viendra avec nous, elle m'a dis qu'elle allait me suivre, car elle sait que tu viendras avec moi. 
- Tu lui as parlé, non? 
- Est-ce que tu viens Dmïtrï, ou est-ce que, demain matin, tu partiras seul.
Je restai passif puis je m'avançai vers lui. Il me tendit plusieurs objets que je ramassai de sa main. Je les regardai et j'eus le plaisir de prendre, un boomerang, sept lances, un sac qui contenait quinze bombes, un autre sac qui contenait vingt noix de déku, une torche et des gants armés avec des couteaux. Je rangeai mes nouveaux outils dans des endroits spécifiques de ma tunique. 
- Avant de quitter ce village, Je voulais seulement te dire à point j'aime ce village forestier. Mais, nous ne sommes pas de cette nation, nous ne sommes point des kokiris. Je pense que nous sommes plutôt des humains, car les kokiris ne grandissent pas et nous oui.
Je lançai un regard à mon ami, je vis son armement qui paraissait beaucoup plus complète que la mienne, cependant, je ne pus voir que sa lame.
- Tu sais, je me demandai qu'est-ce que tu ferais si rencontrerais un gauron, un zaura, un déku ou un humain et que tu devrais les combattre?
- Veux-tu que je te crache la théorie, celle que nous avions apprise lorsque nous étudions l'escrime et les arts martiaux?
- Je suppose que tu peux te basé sur la théorie qui dis que tu peux gagner contre tous, mais serait–tu capable de t'en sortir?
- Tu t'inquiète trop, Hazhéo. 
- Dis-moi qu'est-ce que tu ferais si tu devrais les combattre?
Je pris un moment de réflexion puis je laissai ma réponse sortir de ma bouche.
- Les gaurons sont gros, musclés, solides. Ils roulent sur leurs ennemis et leurs donnent de puissant coups de poing. Mais, malgré leur solidité, un coup d'épée bien placé peuvent leur causer une douleur insupportable, ils sont plus fragile qu'ils en ont l'air. Ils peuvent aussi se recroqueviller et rouler sur leurs propres corps pour sortir de puissantes attaques. 
- C'est bien, mais que fais-tu des zauras?
Je poussai un petit soupir. 
- Ils sont le contraire des gaurons, rapide, leurs corps est fragile, mais ils quand même des muscles. Ils utilisent leurs nageoires comme des épées, même si leurs corps est fragile en lui-même, un zaura est capable de subir beaucoup plus de coup qu'un gauron. Les zauras utilisent aussi leurs nageoires comme boomerang et sont très habile dans l'eau.
J'arrêtai de parler et j'attendis que mon ami repris la parole, ce qu'il fit.
- Pour les déku, finalement, car pour les humains, c'est comme contre toi-même.
- Les déku sont spécial, Ils sont très petit, mais ils sont capable sortir des mouvements inattendus, Ils adorent utiliser leurs pouvoirs pour faire des bulles qu'ils utilisent comme projectiles et ils sont capable d'utiliser la magie très efficacement.
- Tu n'a pas répondu à mes questions, tu tourne autour du buisson. Est-ce que tu te souviens de tes notions de biologies?
- Oui, bien sûr, je connais par cœur la constitution des humains, des gaurons, des dékus et des zauras.
- Et est-ce que tu te souviens de ce que le prof nous avait appris sur les dragions? Une ancienne race qui fut éteinte.
- Oui, je connais presque tout. Sur le fait qu'ils ont accès à la magie noire, qu'ils se transforment en dragon et etc.
- C'est tout ce que je voulais savoir. 
Je changeai brusquement notre sujet de conversation.
- Tu es sûr que nous n'allons pas nous faire renvoyer de la ville, parce que nous venons d'une ville qui a accepté de faire des recherches poussées en biologies pour tout découvrir sur les différents et contredire ce les coutumes populaires disaient. Nous les avons contredis, nous sommes des ennemis. Même la moitié des kokiris renonce de croire à ce que nous trouvons par la biologies, alors que les autres sont en amour avec.
- Dis-tu que c'est inutile? Je ne pense que la princesse Zelda soit aussi fermée que cela. 
- Non. 
- Bon, très bien, rappelle-toi, si jamais tu perds ton épée, bat-toi à mains nues, tu devrais enfiler ces gants maintenant et fais attention aux bombes et aux lances, elles sont plus petites dans leur sac qu'à l'extérieur, n'oublie pas de dire merci aux gaurons pour nous avoir donné des outils aussi dangereux, mais heureusement, on peut pas en porter beaucoup. N'échappe pas de noix de déku sans avertir tes compagnons et ferme les yeux quand la lances. 
- Oui papa. 
Mon ami arrêta de parler, il me regarda et compris que j'acquis ce qu'il venait de dire pour vrai. J'enfilai mes gants en me rappelant comment se battre à mains nue était difficile. Je me souvins que j'avais appris du même professeur que lui et que nous étions ses deux meilleurs élèves. Je laissai l'inquiétude quitter mon corps, je foudroyai du regard mon ami, il me fit signe que nous allions commencer la marche. Nous sortîmes du village où nous avions passé la plupart de nos vies et nous nous enfonçâmes dans la forêt. Nous réussîmes à marcher sans créer le moindre bruit, il ne fallait surtout alerter des loups. Nous rencontrâmes quelques squelettes durant notre périple, mais vu que nous étions tous les deux très forts, nous les écrasâmes sans aucun ennui. Nous passâmes à travers la forêt plus rapidement que je l'avais, le chemin était beaucoup plus linéaire que je l'avais espéré. Les cris de deux chevaux se rendirent à mes oreilles et percèrent mes pensées. Mon attention se tourna vers mon ami puis nous nous dirigeâmes vers ces appels après avoir échangé un regard. Nous arrêtâmes devant les animaux, nous reprîmes notre souffle et nous entendîmes une voix s'élever et briser le silence lourd qui pesait sur nous, c'était la voix de notre ami Saria. Je tournai mon attention vers elle et je la vis assise sur un cheval en train de nous faire un petit geste de sa main. Je regardai mon ami 
- Elle montera avec toi, Dmïtrï, elle a des choses à faire dans près du château, c'est elle qui me l'a dit.
- Oui papa. 
- Ne m'appelle plus comme ça, Dmïtrï.
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

22 Juillet 2008 à 15:45 #1 Dernière édition: 22 Juillet 2008 à 17:05 par Marco
Alors désolé, mais la narration à la première personne ça donne un côté que je n'apprécie pas du tout. J'ai quand même essayé de rester accroché pour lire la suite.

Et puis bon, le passage sur "la science" j'accroche pas non plus, je trouve ça même limite lourd... Ton personnage aurait pu décrire le monde de façon, moins lourde (j'ai l'impression d'être encore un gamin en cours...), bien qu'il soit un savon de marseille...
Je préfère parler science à la rigueur avec des gens qui s'y connaisse, car de toute façon à la base je devais faire une "S"... donc j'ai rien contre ça.

Link qu'à déjà pratiquement plein d'objets sans rien avoir fait... mouais, il va se faire chier s'il n'a plus d'action et d'objets à découvrir en chemin... :D


Pour résumer mon avis: Mets à la troisième personne la narration, car on a l'impression que tu parles de toi, ou du point de vue de Link, mais on a toujours eu un point de vue objectif sur ses histoires, et le fait que tu aies modifié ça, bien que se soit osé de ta part de tester (j'ai pas lu toutes les fics avant de dire ça...), ça donne un effet que j'ai pas l'habitude de voir surtout quand c'est fictif...


A part ça, ton pseudo il est top Yugi ! B)


PS: Un conseil: Ne fais pas un jeu amateur Zelda avec ça, il manque l'esprit dedans... Laisse-le en fic à la rigueur ça passerait mieux.

L'histoire me plait bien, mais ton texte est un peu dure à comprendre : quelques petites fautes, mais surtout, il manque des mots et on ne comprend donc pas ce que tu as voulu dire parfois...

Mais quand tu fais dire à Link "papa", c'est pour se moquer de Hazhéo..?

Ps: Laisse moi deviner, tu t'appelles Dimitri  ;)

Si je la mets à la troisième personne, mon histoire va complètement perdre le fil des mes pensées, je suis l'auteur, je dois incarner le personnages principale.

Link appelle Hazhéo papa pour se moquer de lui, s'est bien évident, Hazhéo agissait comme son père.

Ps: Laisse moi deviner, tu t'appelles Dimitri
ps.: non, c'est Sophie et je suis un homme.  :blink: quel choque!
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

Citation de: yugi le 22 Juillet 2008 à 16:51
Si je la mets à la troisième personne, mon histoire va complètement perdre le fil des mes pensées, je suis l'auteur, je dois incarner le personnages principale.

Mouais, m'enfin c'est pas parce que tu es l'auteur que tu peux justifier d'un tel emploi de narration hein.
Je commence un peu mieux à comprendre pourquoi un récit à la première personne à présent...

C'est un peu HS, mais tu t'appelles Sophie, et tu est un homme..?  :blink:

Oui c'est HS, il existe les MP pour cela, merci de rester dans le sujet de la fic ;)


22 Juillet 2008 à 20:20 #7 Dernière édition: 08 Décembre 2008 à 18:11 par yugi
Attention aux coeurs sensibles, cette histoire conteint des passages érotiques qui sont acceptable et peu décrits. Si vous voyez des fautes, ça urge, dites moi les.
N.B. Zaurien, Gaurien, Dékien et dragiien ainsi que les formes pluriels et féminines sont des adjectifs bien écrits.

Voici la suite tant attendue. toujours écrites à la première personne.

Je jetai un regard rapide à mon compagnon puis j'échangeai quelques paroles avec mon amie. Je vis mon compagnon monter sur son cheval et ranger son épée.
- Qu'est-ce que tu vas faire, me sortit mon ami.
- Rien de spécial.
Je fis la même chose que Hazhéo et je montai en selle, mon amie fit de même et je sentis ses mains passer autour de ma taille en même temps que sa poitrine se collait à mon dos.
- Ne penses pas à la mettre enceinte si tôt même elle colle ses seins sur toi. Et peût être qu'elle...
Nous nous tournâmes en temps vers Hazhéo qui partit à rire puis tira sur les reines de son animal. Je me ressaisis à la dernière minute et je partis à sa poursuite. Je le vis au loin, mon ami s'amusait énormément, alors que j'étais en train de le rejoindre, lui, il tournait en rond en riant et en lançant son épée dans les airs pour tuer les quelques corbeaux qui venait l'agacer. Saria fit une petite pression sur mon thorax, qui voulait dire selon le code que moi, elle et Hazhéo avions adopté, qu'il n'y avait à craindre. Alors que nous avançâmes rapidement, je vis quelques corbeaux planer autour de moi, Je décidai de ralentir ma course et je vis l'un d'entre eux être soudainement couvert de flamme, ceux qui l'entouraient commençaient à subir le même sort. Je me surpris à être fasciné par les pouvoirs magiques de Saria. Je me souvins qu'elle était la meilleure élève dans sa classe, moi, je n'arrivais pas à grands choses et Hazhéo séchait ses cours, car il savait déjà tout. Quittant les corbeaux de vu, je vis le cheval de mon ami s'approcher dangereusement de nous. Je freinai sèchement et je sentis une petite nausée. Mon compagnon s'approcha de moi et me regarda avec un air amusé. Nous poursuivîmes notre ballade, sans rencontrer d'obstacles majeurs. Je lançai un coup d'oeil et je vis que nous nous approchions de la ville royale. Le chemin restant fut long, mais nous étions toujours en train de rire ensemble de blague que notre compagnon nous sortait. Puis je vis une pieuvre au loin pointer le bout de son nez et mon ami s'arrêta immédiatement. Je fus tellement surpris que je tirai les reines d'une façon involontaire et mon cheval poussa un cri de douleur et se positionna sur deux pattes. Nous fîmes de notre mieux pour rester accrocher à lui. Je ne quittai pas mon allié de vue qui sortit lentement son épée et la lançai avec une grande force. L'épée se logea dans la tête de l'animal, alors que notre cheval se redressa. Il nous lança un clin d'œil qui nous fit signe de le suivre. Il s'arrêta devant le cadavre de sa victime, il lui coupa les tentacules et les enveloppa à l'aide d'un sortilège que tout le monde dans le village maîtrisait, puis, lorsqu'il remonta en selle, nous nous remîmes en route et arrivâmes à la ville royale en un rien de temps, dix minutes plus tard. le temps que prenions pour parler et blaguer fut beaucoup plus cour que nous le croyons. Arrivés à l'entré de la ville, nous débarquâmes de nos chevaux et nous les laissâmes à l'entrée
- Vous saurez comment vous débrouiller maintenant, vous deux, surtout, rappeler vous que le but n'est pas de s'envoyer en l'air et d'avoir des enfants.
- Oui, Papa! nous chantâmes en cœur.
Nous aperçûmes Hazhéo pousser un soupir après s'être fait moquer de lui. Nous entrâmes dans la ville, Hazhéo nous guida à l'hôtel, il donna les tentacules de pieuvres à l'hôtesse.
- Bonjour, je m'étais dis que je pourrais vous les donner.
- Vous nous donner des tentacules de pieuvre?
- Oui, après tout, tout le monde aime manger la pieuvre, les tentacules sont si bons.
- Vous devez être un bon chasseur. Pour pouvoir en attraper si rapidement.
Il se gratta l'oreille et annonça à l'aubergiste que venions prendre une chambre, pendant qu'un cuisinier passa dans le coin. Elle donna les tentacules au cuisinier qui les regarda en se plaignant et retourna dans la cuisine. Hazhéo me tendit un papier.
- C'est une carte de la ville, Dmïtrï. Ne te perds pas.
Sur cette parole, il nous laissa sur place et quitta silencieusement l'auberge, je levai tranquillement les yeux vers le ciel et je vis les rayons orange du soleil. Nous fûmes escortés à notre nouvelle chambre qui se révéla à être une chambre de luxe. Je regardai tous les objets présents dans la pièce, table de nuits, meubles, lit double, un cristal rouge. L'hôtesse nous expliquai que notre ami venait nous acheter la chambre et d'y laisser quelques effets personnels. J'ouvris un des tiroirs et je reconnus de beaux vêtements que Saria avait toujours désirés. Puis elle nous expliqua ce que le cristal faisait, selon ce je que je pus écouter, il servait de porte de secours, nous pouvions revenir ici quand nous voulions. Elle me tendit un petit orbe rouge en nous disant que c'était grâce à cet orbe que nous pourrions revenir dans cette chambre puis elle nous planta sur place en quittant la chambre. Nous déposâmes nos armes dans nos coins respectifs puis nous vérifiâmes les effets que notre amis venait des nous laisser. Nous nous aperçûmes qu'il avait pensé à chaque petit détail. Elle s'approcha de moi et sans savoir pourquoi, je me précipitai dessus elle et je l'embrassai puis nous fîmes l'amour dans cette chambre en oubliant de fermer la porte. Je fus trop occupé à ressentir les étranges sensations que notre acte me procurait. J'étais totalement perdu dans mes pensées où la seule chose que je voyais c'était son corps nu, cela dura jusqu'à que notre moment se casse lorsque je jouis.  Je m'écartai d'elle et je rhabillai lentement en mettant d'autre vêtement que mon habituel tunique verte, j'optai pour une tunique ressemblante, mais d'une couleur majoritairement orange et très bien décorée.
- Tu n'as pas besoin de t'inquiéter, c'était correct mon ami.
- L'amitié va un peu loin pour toi, de toute façon, je ne suis plus excité. C'est fini.
Elle se rhabilla comme moi, je la vis choisir une magnifique robe bleue.
- Il est seulement habituel de vouloir s'habiller autrement.
- Ce n'est pas celas qui m'occupe l'esprit.
- Ne t'inquiète pas, je ne peux pas tomber enceinte maintenant.
- Et pourquoi?
- Je suis déjà enceinte de toi, ça fait seulement cinq semaines, je l'ai sus grâce à cette magie d'analyse qu'Hazhéo m'apprise.
Je poussai un léger et je la remerciai de m'avoir prévenu. Je pris la carte de la ville et je la dépliai sur le sol, nous la regardâmes et nous nous organisâmes pour nous rendre au château. Nous nous levâmes et j'aperçus que la porte était ouverte.
- Ne t'inquiète pas, j'ai toujours gardé un œil sur cette porte pendant que tu me faisais l'amour et que tu me pénétrais et personne nous a vus.
- Est-ce que tu vas me dire comment te faire l'amour maintenant?
- Non.
- Ce n'est pas le but de notre mission et je ne le ferais pas à nouveau.
- Après demain, d'accord.
- Oui, Maman.
- Je ne suis pas ta mère.
- Pardon maman. Mais nous venons de perdre du temps...
- Pour un ébat sexuelle, me coupa-t-elle, cela valait la peine.
- Oui, Maman.
- Arrête, Link.
Je gardai le silence et nous sortîmes de la salle, nous passâmes à travers la ville et nous rendîmes au château en ne donnant que des coups d'œil aux magasins et à la population. J'écoutai quand même certaines personnes parler, je levai les yeux et je reçus le soleil en plein dans les yeux. Je baissai mon visage puis je me redressai et je continuai me parler tranquillement. Nous fûmes arrêter au château par des gardes qui nous demandèrent qui nous étions, ils nous laissèrent passer lorsque je leurs donnèrent mon nom et nous commençâmes à marcher à l'intérieur de cette bâtisse pour la première fois de nos vies. Nous fûmes escortés jusqu'à la princesse. Le garde qui nous donnait cette escorte était bien amusant, il nous avait jeté des blagues sur la princesse elle-même puis il nous dit de les garder pour nous. Nous apparurent devant la princesse qui était tranquillement assise sur son trône, je vis à sa gauche, le trône royal qui était vide. Elle se leva et nous salua. Nous fûmes présentés comme ses gardes du corps. Après quelles que courtes discussions, elle nous sortit qu'elle devait se rendre aux villages gauriens et zauriens puis elle nous expliqua la situation actuelle en écoutant nos quelques commentaire.
- Les gaurons et les zauras sont en guerres. Et voilà que nous avons réussis à dénombrer 1203 morts, 602 zauras et 601 gaurons. Mon but est d'arrêter cette guerre.
- Comment allez-vous faire cela, votre majesté, sortit mon ami.
- Je vais devoir avoir un petit dialogue avec leurs chefs respectifs et vous allez me protéger, ils ont une très grande méfiance des uns et des autres, mais aussi des humains et des dékus aujourd'hui.
Nous nous lançâmes quelques regards et nous lui demandâmes quand cette escorte allait se faire, elle nous répondit que c'était dans deux heures. Nous lui priâmes de nous excuser et nous courûmes jusqu'à notre chambre où Saria me força à lui faire l'amour à nouveau avant que je puisse enfin m'armer. Je sentis cette désagréable sensation d'être en présence de ma nouvelle femme, alors que nous étions pour elle que des amis. Je fus content de sentir mon épée battre contre mon dos en même temps que le poids de mes noix de déku, mes bombes, mes lances, mon boomerang et ma lampe que je venais d'accrocher à mon pantalon. Je pris quelques minutes supplémentaires pour fouiller les tiroirs que je n'avais pas encore ouverts. Je fus surpris de trouver un arc, je le pris et je l'installai sur mon dos. Mon amie me fit signe de me dépêcher. Je jetai un dernier coup d'œil et je sus par une intuition quelconque que la princesse nous attendait. Nous sortîmes de l'hôtel en furie devant les yeux surpris de l'hôtesse.

Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

601 gaurons!! :blink:dans OOS ils sont seulement une douzaine et ans MC seulement...6 je crois alors faire 601 mort c'est compliqué
La Reine des Ténèbres 2.0 : http://fr.scribd.com/doc/128034226/Rdt
A découvrir et redécouvrir :)
(A tribute to Gabriel10)

Plus de renseignements : http://forums.zelda-solarus.com/index.php/topic,22646.0.html

ça aurait été + intéréssant si toute la fan-fics avait été le thème de la bd de darkzed51 non ? :ninja:
Mais merci pour ce travail que j'admire énormément yugi. ;) ^_^

Citation de: yugi le 22 Juillet 2008 à 04:09
5 pied et 6 pouces, Il porte les même vêtement que link au début.

Ben ça doit pas être pratique pour les bottes et les gants.
Signé : Un mec relou

Dédicasse marco.  B)
Je t' lily.

Regex / Les ravages de linux
CitationDites, dans un CV, faut mettre si on préfère vim ou emacs ?
Dis papa comment on fait les bébé
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01 Août 2008 à 23:32 #12 Dernière édition: 02 Août 2008 à 00:37 par Marco
CitationAttention aux coeurs sensibles, cette histoire conteint des passages érotiques qui sont acceptable et peu décrits.

Citation de: mooglwy le 01 Août 2008 à 22:19
Dédicasse marco.  B)

Lol Moog ! Je vous aurai à mon tour Kuro et toi... ! :D
Et pareil que Kuro en prime, ça doit être un passage très érotique implicite.

Citation de: yugi le 22 Juillet 2008 à 20:20
Je pris quelques minutes supplémentaires pour fouiller les tiroirs que je n'avais pas encore ouverts. Je fus surpris de trouver un arc, je le pris et je l'installai sur mon dos.

Ça ma marqué... :ninja:
Ils sont grands les tirroirs dans ton récis :mellow:

Sinon j'ai lu ton histoire, franchement j'aime pas je m'endormais en lisant. Cependant ne lache pas, tu t'améliorera surment dans tes prochains chapitres :).

12 Août 2008 à 06:37 #14 Dernière édition: 12 Août 2008 à 18:15 par yugi
J'ai corrigé les deux prémières parties et j'ai fait la troisième.
J'ai même pleurer en relisant, la tristesse est là, mais il y a aussi la frustration.

Notre course fut terminée loursque nous retournâmes au château, nous fûmes amenés à la princesse par un garde silencieux et ennuyeux. Il quitta rapidement la salle du trône et nous laissa seuls avec sa majesté. Nous nous avançâmes suffisamment proche d'elle pour que puisse contempler tout les traits de son beau visage.
- Donc, je voie que vous êtes prêts, vous êtes arrivés trois secondes à l'avance.
- Oui, j'ai eu une intuition.
- Je comprends, Nous irons voir le chef des gaurons puis le chef des zauras. Vous m'escortez, c'est l'entente.
Elle s'approcha de nous puis s'arrêta lorsqu'elle fut à tune distance de bras de nous deux. Elle prononça quelques paroles étranges qui semblaient être une prière à la déesse févore, je vis un nuage vert nous entourer. Ce dernier boucha notre vue. J'eus un picotement qui me fit fermer les yeux. Lorsque j'ouvris les yeux, j'eus la surprise de voir un carrosse. Je vis que cette chose allait être tirée par deux chevaux.
- Est-ce que vous avez un des ces animaux?
- Oui.
Je sortis mon ocarina et je sifflai. Nous entendîmes la musique de notre instrument puis ce fut les pas de notre étalon. Notre animal pointa le bout de son nez. Je pris une seconde pour contempler à nouveau son pelage brun. Je montai suivi par mon amie qui monta derrière moi.
- Nous pouvons vous escorter facilement. Aucun problème, elle peut utiliser la magie, et moi j'ai mon arc et je peux sacrifier mon épée.
- Ne la sacrifie pas pour rien.
Elle embarqua dans son carrasse et tira ses reines. Je fis de même et je me positionnai à proximité de ma protégée. Je plaçai un petit sortilège autour pour nous avertir de n'importe quel nouvel ennemi.
- Êtes-vous sûr de votre affaire? Parler à un chef gaurien de paix avec les zauras. C'est comme aller leur déclarer la guerre. C'est du suicide selon moi.
- Est-ce de la peur que vous avez?
- Non!
- Link n'a pas peur de quoi que soit.
Je regardai le sol et je m'aperçus que nous étions déjà assez loin du château, nous traversions une vallée montagneuse qui nous conduisait dans une ville gaurienne. Je devinai que nous allions prendre une pause puis aller directement à la cité où le chef vivait. D'étranges bruits vinrent à mon oreille, j'ouïs mon sortilège m'alarmer. Puis nous vîmes des monstres sortirent de leurs cachettes. J'identifiai quatre gobelins, sept loups, dix-huit chauves-souris, dix squelettes et un lézard. Moi et mon amie, nous descendîmes de notre cheval et nous nous jetâmes dans cette marée d'ennemis et nous quittâmes la princesse de vue. Je pris mon épée et je la balançai avec toute ma force. Je sentis mon arme me glisser des mains puis s'échapper, nous la regardâmes s'enfoncer dans la tête du lézard. Un des gobelins la prit et la lança au loin. Je pris un moment pour regarder l'équipement des gobelins, car les autres n'étaient pas équipés ou armés d'une épée dans le cas des ossatures, trois d'entre eux possédaient des masses et le quatrième tient son arc fermement contre lui. Je me donnai un élan et j'engageai les ennemis. Je sentis une flèche effleurée mes cheveux. Mes couteaux percèrent le corps de deux ennemis ailés chauves souris puis tombèrent dans le visage d'un gobelin. J'évitai de me faire morde par un loup et je laissai mon arme gauche planté ses dents dans sa gueule. Je retirai mon gans armé de couteaux du corps de ma victime en regardant le corps d'un autre loup être brutalement soulevé et lancé sur un mur, le pauvre prédateur mourut avant d'atteindre le sol. Les chauves souris m'entourèrent me modèrent occasionnellement. Je vis les squelettes m'entouré et sept ennemis fermé leurs cercle sur moi puis j'entendis un bruit qui me signala que j'allais me faire tirer un projectile. Je me concentrai, J'oubliai les ennemis qui m'entouraient et je lançai un petit sortilège sur son arc. L'archer se fit atteindre par sa propre munition.  Un gobelin passa à deux doigts de me frapper, mais sa masse fut consommée par un feu qui apparut grâce à la magie de mon amie. La moitié des monstres se tournèrent vers elle. Je traversai les champs d'opposants en tuant deux loups et le dernier gobelin, puis j'arrivai juste à temps pour délivrer un bon coup de pied qui cassa un os important du squelette qui était en train d'attaquer mon alliée. Nous nous collâmes puis nous nous remîmes au combat en ignorants les chauves souris. Saria fit pleuvoir des éclairs sur ce nouveau groupe de monstre, mais à chaque fois, un des ces mammifères ailés se sacrifiait pour sauver les combattants important. Je m'élançai et je tuai un autre monstre canin. J'entendis les deux autres hurler puis je me tournai vers coéquipière et je vis que trois squelettes s'en étaient dangereusement approché. Je courus vers ces agresseurs, mais je fus intercepté par un loup, j'exécutai une roulade et je plantai les couteaux de mon gang droit dans son cou puis je suivis mon instinct qui me utiliser mon arme gauche contre dernier recours contre le dernier loup. Je retirai mes armes des corps de mes deux victimes et je m'élançai à nouveau. Je me vis arriver au bon moment pour empêcher un de nos ennemis d'abattre mon amie.  J'entendis la foudre toucher le sol. Je regardai nos ennemis restants, puis j'oubliai toute notion de défense et je préparai mon futur massacre. Mais je sentis un poids peser sur mon corps puis un liquide couler sur mon cou. Je me tassai et je regarder Saria tomber sur le sol. J'observai ses yeux immobiles, ses lèvres qui n'arrivaient pas à prononcer un seul, ses membres qui ne faisaient que de petits gestes involontaires puis elle arrêta de bouger et ferma ses yeux. Le sol se peint du sang de la morte, je poussai un grand hurlement et je m'élançai en furie sur mes derniers ennemis. Une fois que j'eus tué le dernier monstre, je me tournai vers ma feue amie et je vis la princesse se tenir tout près d'elle. Je la regardai et je découvris son air innocent
- C'est trop tard.
- Je le sais, je vous escorter comme vous le voulez tout seul.
Je lançai mes parole à un mur et je que la princesse ignorait mes paroles.
- Les pierres mystiques, le diamant de Févore, le cristal de Nairu, la topaze de Dine, elles ne sont pas encore découvertes,
Je l'entendis prier à nouveau puis disparaître de ma vue avec son carrosse et ses deux chevaux. Les mots topaze de Dine, cristal de Nairu et diamant de Févore puis je me souvins qu'une pierre verte, très mystérieuse et belle, se trouvait dans les branches d'un arbre vivant dans la forêt des kokiris. Je soulevai le corps de ma feue alliée puis je montai sur mon cheval. Je l'accrochai sur mon dos et je me dirigeai vers la forêt des kokiris, l'endroit où je suis né.

Merci de laissez vos commentaires.

En passant, Qui a tué Saria?
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

Le fait que tu incarnes le perso principale me dérange trop pour que je continues à lires...

Sinon j'sais pas pourquoi mais quand je lis je trouve rien de triste, niveau drame je préfère mieu en film/theatre/anime, m'enfin les trucs où on voit vraiment la réactions des gens :).

Ta fic est sympa  mais dans les combats les scenes vons tros vite
sinon pour moi sa va
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C'est vrai qu'on voit rarement le narrateur au ''je''.C'est spécial comme style d'écriture.On croierait qu'un de nos amis nous raconte sa journée en forme de lettre. ^_^
L'histoire est bien aussi mais faut vraiment aimer les choses différentes pour être capable de lire le tout.^^

Je viens de relire toute la fics et j'ai persé toute l'enigme de la mort de Saria qui était en fait évidente...
La Reine des Ténèbres 2.0 : http://fr.scribd.com/doc/128034226/Rdt
A découvrir et redécouvrir :)
(A tribute to Gabriel10)

Plus de renseignements : http://forums.zelda-solarus.com/index.php/topic,22646.0.html

C'est peut être bizarre maintenant. Que s'est-il passé ?

Je galopai, sans vraiment savoir où je me dirigeai, ma feue amie sur le dos, je m'arrêta en premier dans la ville royale, déposant la morte et le cheval à l'écart puis je courrai vers la demeure royale, cette infâme bâtiment et je demandai à voir la princesse ou le roi. Pour toute réponse, ils m'avertirent qu'elle était absente depuis trois mois, mais je contestai, jusqu'à ce que je vis une belle fille, innocente, petite, cheveux clairs et obscurs, le yeux faibles et charmants, le corps faible, cette fille que le garde me présenta comme la princesse en me traitant de fou. Cette dernière avait une apparence fort différente de la femme que j'ai vue avant, est-ce que je m'avais fait berner.
-   Qu'est-ce qu'il se passe ? Nous questionna-t-elle en nous observant innocemment.
-   Rien. Répondu sèchement le garde. Ce n'est qu'un autre home qui croit que vous avez sa copine.  Mais vous n'étiez pas depuis un mois et le feu roi, il est mort.
-   Vraiment ?
-   Ne dites rien, me chuchota-t-il, c'est une fille très innocente comme vous le voyez, si vous le duites de se suicider pour apaiser le peuple, elle le fera.
-   Mais, vous exagérer.   
Ma réplique ne fit que tomber à l'eau, il poursuivit en disant que toutes les copines de ses hommes n'avaient jamais été tuées, elles avaient seulement reçu un sortilège de mort temporaire. Je regardai lentement la princesse, avant de sortir que j'ai peut être fait une accusation trop rapidement. Je m'apprêtais à retourner sur mes pas lorsque celle-ci m'invita à dîner, une offre qui ne me semblait à intéressante. Je quitta rapidement la ville, en bousculant tout le monde que je croissait sur ma route et en faisant connaître comme un vulgaire voyou. Je fus à l'extérieur, là où le vent pouvait facilement s'enfouir dans ma chevelure et je me redirigeai vers mon cheval, avec la seule idée de quitter cette place et de rentrer chez moi, lorsque je vis que mon amie était bien vivante, comme il l'avait dit. Je laissai les évènements repasser dans ma tête, aucun monstre n'avait frappé Saria et je l'ai vu mourir de mes yeux vus, son sang était encore chaud, sur mon habit, sur mon épaule, mais elle était toujours vivante, en ce moment. Est-ce que j'ai halluciné? Je ne pus le trouver, je m'approcher de celle que j'eus cru comme morte.
-   Bonjour, bon matin.
-   Bonjour... Je t'ai vue mourir pourtant...
-   Non, je ne suis pas morte, bien c'était une mort temporaire, donc j'étais morte pour un moment.
-   Je n'y comprends rien.
-   Dans ce cas, dommage à toi qui a  manqué les cours.
Je me souvenais très bien de cette journée, où le professeur de magie allait nous expliquer la différence entre la mort réelle et la mort temporaire, elle était en fait très mince, sauf que je n'ai pas écouter ce qu'il a dit, j'était dans ma propre bulle, dans mon propre monde, dans mon propre univers.
-   Je pense avoir rencontré la vraie princesse.
-   Quoi?
-   Elle avait l'air vraiment innocente, perdue, bonne à rien. Pauvre soit elle.
-   Et il y a quelques choses d'autres.
-   Oui, elle était absente pendant un mois. Et elle m'a invité pour un dîner.
-   Mais tu penses à d'autres choses.
-   Non.
-   Elle est si naïve que tu pourrais bien t'amuser.
-   Je n'ai pas un cerveau fixé sur la reproduction.
-   Je n'en ai aucunement parlé.
C'était peine perdu m'aperçus-je, voilà une chose que je ne pouvais pas avoir avec elle, c'était le dernier mot. Depuis le tout début de notre connaissance, s'était toujours pareil, peut importe pour elle, elle ne disait jamais ce qu'elle pensait et elle ne me laissait lui faire voir, ce cachant derrière des excuses minables et essayant de me faire passer à mes dépit pour un sophiste, hélas, cela n'était pas moi.
- Bon, d'accord, nous allons répondre à son invitation de dîner. Dis-je sans oublier les questions qui vivaient encore dans mon esprit critique. Puis d'un pas décidé, je me dirigeai à nouveau à l'intérieur de la ville royale, vers le château, en faisant bien attention et en demandant des excuses à tous ceux que j'avais bousculés dans ma folie, en endurant que Saria rallonge toute les discussions que je commençais avec ces hommes, qu'elle risse de tous les faux pas que je venais de faire, mais heureusement, sa présence, adoucissait certaines rencontres. Au long du chemin, je me fouillai et je m'aperçus que j'avais tout perdu étrangement ce que Hazhéo venait de me donner. Donc je fis un petit détour au marcher d'arme qui se trouvait dans un mauvais états, par ce temps-ci, les armes étaient devenus à la mode pour les soldats, je réussit néanmoins à trouver une épée qui me convenait, trente noix de déku, vingt bombes, vingt lances explosives, une arc et 30 flèches. J'eus beau fouiller ma mémoire, mais je ne voyais pas pourquoi, ni comment, j'ai du faire ce détour pour aller chercher ces équipement, à vrai dire, de tout ce que mon ami m'avait légué, il me restait deux choses, mes deux gants métalliques, aussi menaçant que deux épées. Je pris un petit instant pour ranger tout cet inventaire, mes mains toujours placées dans mes gants, je continuai ma marche en direction de cet belle demeure, cette bâtisse qui était plus grande, plus majestueuse, plus belle, plus attirante et plus étrange que toutes les autres de la ville. Accueilli par ce joyeux garde, nous fûmes rapidement escortés à l'intérieur. 
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

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Mouais... c'est bien. Mais malheureusement pour moi mes soupcons de la mort de Saria sont donc faux.
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Il n'y eut pas grand chose à parler, nous rentrâmes, je ne me rappelle même d'avoir échangé une seule parole avec un autre pendant la marche. elle fut pour moi, longue et silencieuse. Je ne souviens plus trop bien de ce qui s'était passé au diner, seulement que les repas y étaient succulents, elle était très aimable, la princesse, mais ce n'était qu'une innocente petite fille, désirant jouir de liberté. Ce qui suit par contre, je m'en souvins très bien. On entendit les lourd cris de la guerre, cette guerre qui faisait rage entre les zauras et les gaurons, personne n'en parlait, elle devenait tabou, mais je ne fit pas comme les autres, je brisa le tabou et pour avoir commis cette faute, je devins un tueur monstrueux et sans pitié au yeux de la plupart.

- Je ne peux pas me retenir, je ne peux endurer cela, comme vous tous, il est d'une importance prémordiale d'en parler.
- On ne peut rien faire sans avoir une des pierres.
- En avoir une nous lancerait dans une guerre sans fin.
- C'est faux.
- Silence, criai-je, je la trouverait et je m'en occuperait seul s'il le faut.

ils me regardèrent tous lentement, je savais que de toute façon, on allait me jeter dans la guerre. Je m'assis et je ne parlai plus, ou du moins, jusqu'àce que ala princesse m'adresse la parole.

- Il y en a un autre qui désire la verte et qui va la trouver.
- Les autres.
- Elle sont détenus par les chefs de guerres, une chez les gaurons et une autre chez les zauras.
- Donc, je n'ai pas le choix, je dois aller chercher cette pierre.
- L'arbre mojo l'a.

Ce fut la dernière chose que j'eus envie d'entendre, après le repas, nous quittâmes le chateau et sans perdre une seconde, nous repartîmes en route, équipement complet, moi et Saria, nous retournions d'où nous venions...
Vous pouvez le mal avec ce que vous avez comme le bien.

04 Décembre 2008 à 03:23 #22 Dernière édition: 04 Décembre 2008 à 05:21 par Isaac
J'ai commencé à lire le récit. Les principaux problèmes ont déjà été relevés (l'utilisation du "Je" notament), mais c'est un bon début... C'est dommage, car l'utilisation de la première personne est pleine de potentiel, mais on a l'impression que c'est un peu mal exploité... On a de la misère à réellement cerner les émotions du personnage et à suivre le fil. Bref, à entrer dans l'histoire. Je vais toutefois donner un avis plus constructif une fois la lecture terminée...

Néanmoins...

Citation de: yugi le 22 Juillet 2008 à 20:20
Attention aux coeurs sensibles, cette histoire conteint des passages érotiques qui sont acceptable et peu décrits.[...]

Citation de: yugi le 22 Juillet 2008 à 20:20
J'étais totalement perdu dans mes pensées où la seule chose que je voyais c'était son corps nu, cela dura jusqu'à que notre moment se casse lorsque j'éjaculai en elle.

J'espère ne pas être le seul qui a trouvé ça trop explicite et vraiment inutile ... Surtout qu'on prend la peine de nous dire que c'est "acceptable et peu décrit"... Franchement, il y a 1001 manières de décrire l'acte sans entrer dans les détails tout en restant poétique et agréable à lire (et on n'a pas besoin de savoir qu'il a éjaculé, sincèrement). Je ne cacherai pas que quand je suis passé par-là, ça m'a légèrement dérangé et décroché de l'histoire (et dire "Attention aux coeurs sensibles" ne change pas la chose, je suis d'avis que ce passage n'était pas nécéssaire pour rendre le récit intéressant)... J'ai surtout eu l'impression qu'on a tenté de donner un style mature aux écrits en décrivant la scène «en détail»... Ça casse plus l'histoire qu'autre chose. Enfin c'est mon avis.

Ne lâche pas sinon. :)