Je remonte ce merveilleux topic avec une de mes récente composition.

LES GENS
Les gens se plaignent d’être trop laids, trop béants
Bien trop vides ou pas assez bien entourés
La vie semble filer devant leurs yeux absents
Sans émotion, sans vie, ils laissent passer
Les gens émettent des cris de douleur du cœur
Derrière une façade épaisse, ils font signe
Ce brouillard n’annonce rien, il est menteur
Et peu à peu, entre nous deux, se trace une ligne
Les gens restent de marbre devant l’espoir
Impossible de se sortir de cette impasse ?
Là, c’est à nous d’ôter nos lunettes trop noires
Ce n’est pas le rose qui retire notre passe.
Les gens se refusent à avoir bien des tords
Le plus grand des tords est de ne pas essayer
Pourtant c’est là qu’on est rongé par les remords
Je suis le reflet de cette réalité